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Anthony Kavanagh – Show Man
107 min

Anthony Kavanagh – Show Man

2016 - Mise en scène Anthony Kavanagh
Kavanagh à cœur ouvert : Dans ce nouvel opus Anthony nous laisse découvrir ses différents visages : ceux que vous connaissez : le fou imprévisible, le comédien, le chanteur, le bruiteur, le danseur (ou presque) et ceux que vous connaissez moins : le petit garçon toujours aussi curieux, le papa et surtout l'être humain. "Showman" est un condensé de tous les talents d'Anthony : humour, rythme, émotion, tout y est ! Sans être donneur de leçons, Anthony nous fait partager avec lui, de façon décalée et drôle, le plus beau show de l'univers : la vie.
Franck Dubosc et Stéphane Rousseau – Permission accordée
115 min

Franck Dubosc et Stéphane Rousseau – Permission accordée

2009 - Mise en scène Josée Fortier
Un hommage aux comédies musicales américaines des années 50 de Vicente Minnelli ou Stanley Donen pour un spectacle déjanté, qui mêle dans un cocktail explosif, textes hilarants, chorégraphies virevoltantes à 10 danseurs et moments de pure loufoquerie. Franck Dubosc et Stéphane Rousseau y incarnent deux marins en permission, qui avec la complicité de la fine fleur des humoristes français, vont partir dans un grand voyage au pays du délire. Le tout est mis en histoire et en rythme par l’écriture malicieuse d’Arnaud Gidoin, qui réussit la gageure de respecter l’univers spécifique de chacun, de Florence Foresti à Patrick Timsit en passant par Jonathan Lambert, tout en liant l’ensemble avec un dynamisme et une douce folie irrésistibles. Une scénographie imposante, avec des décors pivotants s’adaptant à l’ambiance voulue pour chacune des séquences, et un travail spécialement soigné sur la lumière, donnent à ce spectacle un vrai parfum de Broadway. Après un immense succès à Nantes (du 3 au 10 avril 2009) et à Montréal (du 3 au 26 juillet 2009), ils prennent aujourd’hui leur « Permission » à Paris, au Zénith du 23 au 26 septembre 2009.
Les Fâcheux
95 min

Les Fâcheux

2022 - Mise en scène Julia de Gasquet
Première comédie-ballet de l’Histoire, Les Fâcheux est une pièce de Molière représentée au château de Vaux devant le roi, le 17 août 1661 et commandée par le surintendant Fouquet. Elle fut « conçue, faite, apprise et représentée en quinze jours ». Beauchamp se chargea des ballets, Lebrun peignit les décors, Pellisson composa le prologue. Les Fâcheux est un amusant spécimen de comédie à tiroir, absolument dénuée de toute intrigue.Eraste attend sa maîtresse Orphise à un rendez-vous qu’elle lui a donné et que vient empêcher toute une série d’importuns ou de « fâcheux » : un valet trop complaisant, un marquis ridicule, un danseur, un duelliste, un joueur de piquet, deux précieuses qui désirent consulter Eraste sur un point de métaphysique, un chasseur qui fait un long récit de chasse à courre, un pédant qui ne rêve qu’anagrammes et acrostiches, un inventeur enthousiaste et besogneux, etc.
La voie de l’écuyer
62 min

La voie de l’écuyer

2012 - Mise en scène Bartabas
" J’ai imaginé une compagnie-école, un laboratoire de création, où la notion de travail collectif est fortement défendu. Pour moi, il n’y a pas de transmission du savoir équestre sans développement d’une sensibilité artistique. C’est pourquoi, ici, l’apprentissage du dressage se conjugue avec la pratique de la danse, du chant, de l’escrime artistique ou du Kyudo… Il s’agit de considérer la chose équestre comme un art et non comme une discipline." Bartabas La Voie de l’écuyer est le spectacle de répertoire de l’Académie du spectacle équestre ; décliné en Opus, il évolue et s’enrichit chaque année de l’expérience des écuyers et des progrès des chevaux. Avec le Carrousel des lusitaniens, l’escrime artistique, les improvisations, les longues rênes… ce spectacle évoque l’Académie, corps de ballet équestre unique au monde qui allie création contemporaine, art équestre, patrimoine revisité, appropriation de la tradition et transmission des savoirs.
Cour d’Honneur
120 min

Cour d’Honneur

2013 - Mise en scène Jérôme Bel
67e édition du Festival d'Avignon - Création 2013 Jérôme Bel voulait faire depuis longtemps un spectacle sur la mémoire d'un théâtre, sur la mémoire des spectacles qui y auraient été présentés. On sait que des spectacles, de la représentation spectaculaire proprement dite, il ne reste rien, sinon dans la mémoire des spectateurs qui ont assisté aux représentations. Car c'est justement la nature même du spectacle vivant que de mourir, de disparaître. Ce qui fait à la fois sa grandeur et sa faiblesse. C'est en pensant à la Cour d'honneur du Palais des papes, sans doute l'un des lieux les plus symboliques du théâtre en France, qu'il imagina une solution : un spectacle mettant en scène des spectateurs qui racontent eux-mêmes leurs souvenirs de ce lieu et des spectacles qu'ils y ont vus. Les spectateurs invités à participer à ce projet sont des amateurs de théâtre, ou pas. Ils ont entre onze et soixante-dix ans ; ils sont étudiant, professeur, graphiste ou infirmière ; ils habitent à Vichy, Avignon, Paris ou Clermont-Ferrand. Chacun à leur manière, ils témoignent de leurs expériences de spectateurs, bonnes ou mauvaises. Les enjeux de cette création sont donc d'essayer de quantifier la réception des spectacles par les spectateurs, de mesurer l'influence de l'art sur leur vie. Dans la Cour d'honneur donc. Car il fallait donner au spectateur la place qu'il méritait : la place d'honneur.
Le fils du comique
109 min

Le fils du comique

2014 - Mise en scène Agnès Boury
Après le triomphe de la saison dernière, Le Fils du Comique revient à Paris. Pierre Palmade, toujours dans la peau de Pierre Mazar, son alter ego à la scène, veut un fils. Toujours égocentrique et à la recherche de bons mots, toujours homosexuel assumé, mais cette fois-ci en couple avec un compagnon qu’il adore martyriser, c’est maintenant son envie de faire un enfant qui sera le nœud de l’histoire. Il veut un fils et il l'a promis à deux femmes : Sylvie, sa meilleure amie, et Isabelle, l’actrice très prometteuse de sa prochaine pièce ! Une vraie bataille de « femelles » opposera alors les deux jeunes femmes, chacune d’une nature très affirmée… Cinq personnages qui se déchirent pour notre plus grand plaisir.
Le Fusible
96 min

Le Fusible

2017 - Mise en scène Arthur Jugnot
Le Fusible, comédie disjonctée mise en scène par Arthur Jugnot et servie par Stéphane Plaza et Arnaud Gidoin au meilleur de leur forme ! Paul, un homme d’affaire de 45 ans, est sur le point de changer radicalement de vie… Il a tout organisé dans les moindres détails : la vente lucrative de son site internet à une compagnie Russe, son divorce et son départ sur une île paradisiaque avec sa maîtresse…. Seul confident de son stratagème et de ses projets du lendemain : son ami Michel, génie de l’informatique naïf et gaffeur qui suit Paul comme un phare… Mais à la veille de ce jour fatidique, tout bascule : un court-circuit fait exploser le four au moment même où Paul se trouve dans la cuisine. Il sort indemne, mais contre toute attente, a totalement perdu la mémoire….
Le Jeu des Ombres
137 min

Le Jeu des Ombres

2020 - Mise en scène Jean Bellorini
Le Jeu des ombres est une plongée joyeuse, festive et profonde dans la langue exubérante et éruptive de Valère Novarina, qui s’entrechoque avec avec la musique cristalline de Claudio Monteverdi.
Ben-Hur – La Parodie
77 min

Ben-Hur – La Parodie

2015 - Mise en scène Luc Sonzogni
De la fameuse course de chars - pour la première fois sur la scène d’un théâtre ! - aux costumes de l’époque : toges, tuniques, glaives et sandales... Ben Hur, la parodie vous transportera au coeur du mythe de Ben Hur, dans un Empire romain décoiffant ! On y retrouve les univers de Mel Brooks, des Monthy-Pythons et d’Alain Chabat dans Mission Cléopâtre. Nul doute que ce show hilarant et familial vous fera scander en levant le pouce : « Je Like ! »
Le prince de Hombourg
128 min

Le prince de Hombourg

2014 - Mise en scène Giorgio Barberio Corsetti
Toute la pièce est une énigme... ou peut-être un songe... qui commence par un somnambulisme et qui finit par un évanouissement... Ou bien est-ce l’histoire d’une lâcheté et d’un héroïsme ? Est-ce le résultat d’une impulsion inconsciente ou celui d’un véritable choix ? De quoi parle Le Prince de Hombourg ? De comment on peut vivre tout en dormant... ou rêver de la vie... comment Éros se mêle impitoyablement aux décisions conscientes... comment la mort joue avec les glissades et les chutes des hommes... comment on peut entendre sans écouter... en écoutant les voix intérieures plutôt que celles de l’extérieur... comment la guerre est le terrain extrême de toutes les possibilités d’action... par le geste le plus extrême, l’homicide... comment les impulsions nous dominent... et comment la raison nous condamne à mort pour faire taire ces impulsions... L'ordre, l’obéissance aux règles, est-cela la mort ? Qu’est-ce que cette pièce tente de nous dire ? Comment le symbole finit par l’emporter sur le réel... Le symbole, est-ce une couronne de laurier sur la tête des poètes et des héros ? Seul un geste de clémence ou d’appréciation du père peut nous sauver... mais cela vaut seulement une fois que nous aurons accepté de monter sur l’autel, le couteau sous la gorge. Le père dispense-t-il la justice... ? Ou la clémence... ? Ou bien le pardon quand il nous a condamnés à mort pour l’avoir emporté contre la loi ? Au fond, est-ce notre victoire qui a été condamnée ? Et cette victoire, peut-elle être seulement remportée contre les lois du père ? Pour ensuite nous emmener à une condamnation et accepter celle-ci comme la seule possibilité d’affirmation de notre être au monde ? La seule issue de la condamnation, est-elle vraiment notre acceptation, et la consé- quente clémence du père ? La mort, vient-elle vers nous habillée en femme perdant un gant ? Éros dissémine des gants perdus, dévoilant des mains délicates et gracieuses – l’histoire de notre culture... Combien de temps faudra-t-il pour que ces mains deviennent squelette ? Chaque scène est une énigme... le sens se perd dans les élans, dans les fulgurances... le prince est notre héros, l’avatar de nos songes... nous vivons avec lui dans des formes et des paysages durs, de pierre ou de fer... des scènes coupées au sabre... comme dans la charge d’une cavalerie exaltée... des scènes fragmentées, éclatées,LE PRINCE DE HOMBOURG de Heinrich von Kleist mise en scène Giorgio Barberio Corsetti livides... incongrues, l’une après l’autre... chaque scène, un tableau différent... qui répond à un système symbolique tour à tour différent... mais qui, toutes assemblées, créent une grande fresque... comme une chapelle cachée dans une grande cathédrale dépouillée... Sur le chemin du prince, une fosse... les croque-morts au travail... Par le biais de sa mère putative, le prince demande clémence à l’Électeur, son père électif... Au théâtre, est-il possible que, dès que le père prend du pouvoir, les fossoyeurs commencent à creuser ? La Cour d’honneur est une paroi ardue, un plateau sous un abîme... c’est là où le prince affronte la guerre, la peur, l’exaltation, le désir, la mort... c’est là où les personnages tombent et se redressent. On les croit morts, mais ils vivent pourtant pour condamner ou être condamnés, pour donner la grâce ou la recevoir... Mais où est la guerre dans tout cela ? Là, au fond, là où l’élan et le cri surgissent sans calcul, sans raison... c’est ce moment d’exaltation qui nous fait remporter la victoire ou perdre, qui nous perd, dans lequel nous nous perdons... car nous n’avons pas écouté... car nous pensions à autre chose... à l’autre... Images, rêves, fer, chevaux... armes... une paroi gravée de signes picturaux... explosions de couleurs... feu... lances incendiées... visions du jugement dernier... combats... chutes sans fin... corps nus et corps protégés... enveloppes... surfaces en mouvement transpercées par les coups... corps projetés... couleurs vives... explosions de couleurs... fer, pierre... Giorgio Barberio Corsetti, septembre 2013
Ici-Bas, les mélodies de Gabriel Fauré
75 min

Ici-Bas, les mélodies de Gabriel Fauré

2018 - Mise en scène Sonia Bester
C’est une belle aventure avant même de commencer. Des musiciens se rencontrent. Ils interprètent des mélodies de Gabriel Fauré. Ils les jouent sobrement, les chantent simplement. Débarrassées de leur esthétique lyrique, ces mélodies révèlent leur beauté limpide et retrouvent le naturel des chansons qu’elles sont. Les musiciens rêvent d’interprètes pour les chanter et concoctent leur répertoire idéal. Ainsi est né le désir de la création Ici-bas. Donner à entendre sous un jour nouveau les mélodies de Gabriel Fauré tout en restant fidèle à l’esprit intemporel du compositeur et à son univers musical. Écouter ces mélodies, c’est aussi faire résonner la poésie de Paul Verlaine dont Gabriel Fauré disait qu’elle était « exquise à mettre en musique », celle de Théophile Gauthier, Sully Prudhomme,Armand Silvestre, Charles Van Lerberghe, Romain Bussine et d’autres encore... Au cœur de ces textes et de cette musique, nous sommes suspendus, en apesanteur dans un monde lointain fait d’aubes naissantes, de crépuscules orangés, de baisers rêvés et d’amours incertains...
Grand Concert, Urgence Tchétchénie
118 min

Grand Concert, Urgence Tchétchénie

2017 - Mise en scène Guillaume Mélanie
Soirée présentée par Karima Charni et Guillaume Mélanie. Avec la marraine Camille Cottin et parrain Vincent Dedienne Seront également présents les Artistes : Camille Cottin, Vincent Dedienne, Vincent Delerm, Julie Zenatti, Christophe Willem, Elisa Tovati, Catherine et Liliane, Patxi Garat, Albin de la Simone, Rose, Maud Le Guénédal, Alex Beaupain, Camille Chamoux, Philippe Besson, Vanessa David, Benjamin Siksou et beaucoup d'autres... Toutes les recettes seront reversées au Mouvement URGENCE TCHÉTCHÉNIE qui vient en aide aux homosexuels tchétchènes persécutés dans leur pays, en payant billets d'avion, de train, vêtements, nourriture, hébergements... URGENCE TCHÉTCHÉNIE est un mouvement citoyen fondé par Guillaume Mélanie, et composé d'artistes : Benjamin Gauthier, Patxi Garat, Cédric Moreau, Vincent Bayol, Benoit Crou, Camille Cottin, Vincent Dedienne.