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Tilt !
71 min

Tilt !

2014 - Mise en scène Jean-Louis Benoît
Deux hommes ahuris, timides et inoffensifs se posent des questions sur leur existence, leur famille, leur travail ou leur place dans la société. Ces dialogues drôles et loufoques ne seraient-ils pas finalement l’inventaire désenchanté d’une contemporaine et irrémédiable solitude ? Un florilège des textes les plus corrosifs, explosifs et irrésistibles de "Sans ascenseur" et de "Dieu habite Düsseldorf", les deux premiers recueils de sketches surréalistes de Sébastien Thiéry.
Mount Olympus
223 min

Mount Olympus

2016 - Mise en scène Jan Fabre
Pour louer ou visionner le programme : https://vimeo.com/ondemand/mountolympus Jan Fabre repousse plus loin les limites du théâtre, étire le temps, pour offrir 24 heures non-stop d’un spectacle d’une folle énergie. Avec 27 acteurs/performeurs/danseurs, ses « guerriers de la beauté », il plonge aux racines des tragédies grecques. « Mount Olympus » se conclut par une danse d’anthologie applaudie debout pendant 40 minutes. Jan Fabre pense qu’en ces temps de restriction, de crise, d’anti-culture, il était important, au contraire, d’offrir plus et d’explorer nos tréfonds mythiques. « Mount Olympus » cumule toutes les folies, les excès et les beautés de Jan Fabre comme si on entrait dans son cerveau. Pour les spectateurs comme pour les performeurs, il y aura eu un avant et un après « Mount Olympus ».
Drugs kept me alive
74 min

Drugs kept me alive

2013 - Mise en scène Jan Fabre
Le monologue Drugs kept me alive (Les drogues m’ont maintenu en vie) parle d’un survivant. Il explore toutes les issues de secours, l’aiguille de sa boussole toujours tournée vers les raccourcis entre le ciel et l’enfer, pour toujours avoir une longueur d’avance sur la menace de la Faucheuse. Sa rapidité est sa meilleure arme, son humour un médicament puissant et ses acolytes répondent à des noms illustres issus des sphères supérieures, tels que ecstasy, kétamine,GBH,poppers,speed,cocaïne,2C-B,2C-1,2C-7. Avec ces cristaux à inhaler, ces ‘démangeurs’ de sang et ces envoûteurs cérébraux, il se repousse et se jette dans le magma de ce qui le maintient en vie : le désir tourbillonnant de l’ivresse permanente. Il se meut à bord d’un gigantesque dirigeable, loin au-dessus des nuages, il amarre aux quais de chimères qui semblent être en perpétuelle transformation, se crée des mirages qui semblent l’envelopper aimablement et lui procurent un bonheur intense. C’est précisément cette intensité hors du monde qui fait battre ce désir obsessionnel. Une intensité emplie d’une sorte de pureté : l’extase. C’est une sensation étrange qu’une chose puisse être à la fois aussi floue et aussi transparente. Comme une bulle de savon que l’on peut tendre tout autour de la peau pour ainsi s’enfoncer lentement et disparaître. Cette bulle d’air est sa seconde nature, une enveloppe où le silence est assourdissant et qui le protège de la mort. Mais on approche du plaisir ultime, du superlatif de l’extase quand les médicaments du monde d’en haut se mêlent à ceux du royaume des ombres. Dans Drugs kept me alive, Jan Fabre esquisse une vie au bord du gouffre de la mort. Plus on s’approche de la mort, plus les pilules, les poudres et les boissons doivent soutenir la vie. Telle est la situation dans laquelle se trouve le personnage de cette pièce : il a vu la mort en face et décide de jouer au poker avec la maladie dans son corps : drugs kept me alive. Luk Van den Dries
Orgy of Tolerance – Orgie de la Tolérance
104 min

Orgy of Tolerance – Orgie de la Tolérance

2009 - Mise en scène Jan Fabre
Puisque nous avons trop de tout, trop de confort, d'images, de sons, de bouffe, de sexe, comme trop de misère, d'émotions ou de bons sentiments, Jan Fabre a voulu se situer exactement là où ça déborde, recueillant les excès pour en faire des formes elles-mêmes excessives. Et puisque tout se recycle de plus en plus vite, y compris le plaisir, les idées, la révolution ou encore la subversion, sa nouvelle création s'installe au cœur de ce qui bouge, de ce qui communique, pour faire circuler les signes encore plus rapidement, avec une énergie destructrice phénoménale, jusqu'à la farce, jusqu'au non-sens. L'orgie du titre, c'est l'extase, l'orgasme de la consommation : se faire plaisir, parfois littéralement, en tenant sa place dans la licence, l'outrance et la dépense, de préférence avec beaucoup de zéros. La tolérance ? C'est se demander si quelque chose, aujourd'hui, peut encore choquer : sommes-nous prêts à tout accepter ? Notre société est à la fois extrêmement précautionneuse dans certains domaines, mais finalement immensément tolérante pour la plupart des autres. Ce qui permet à Jan Fabre, et à ses neuf performeurs, de déployer sur scène un rire violent qui contamine tout et ne respecte rien. "Orgie de la tolérance" propose en effet une série de rituels mettant à mal notre siècle fraîchement éclos. Les corps y sont régulièrement pris de réflexes animaux, mais des animaux acheteurs, mis en compétition devant les produits dont ils ont besoin, comme soumis à une dépendance incontrôlable. Et quand, au contraire, ils s'alanguissent et se reposent, c'est pour mieux sombrer dans la cérémonie des sofas, ces indices confortables du bien-être intime, où nous nous déposons délicatement afin de regarder la télévision – et faire entrer la violence, la barbarie –, où nous discutons sans fin entre amis d'un ton las et sentencieux, souvent pour tromper l'ennui, parfois pour dire des horreurs en toute bonne conscience. Il y a de l'Ubu dans ce spectacle qui oscille entre la farce et les Monty Python, entre le cabaret brechtien et le happening dévastateur. Comme si un complot absurde, mais néanmoins rigoureux, pouvait permettre d'appuyer toujours plus fort sur l'accélérateur et précipiter joyeusement le monde dans le mur.
Fantaisie – Cirque d’Hiver Bouglione
100 min

Fantaisie – Cirque d’Hiver Bouglione

2023 - Mise en scène Joseph J. Bouglione
Sous l’œil bienveillant de Michel Palmer, Monsieur Loyal, et au son de l'orchestre de Pierre Nouveau, la nouvelle saison s'ouvre ! Les artistes du millésime 2022-2023 jouent la carte de la Fantaisie avec des numéros de haut vol : mât oscillant, sangles aériennes, grande illusion, monocycle géant, cerceau aérien, main-à-main, jonglerie horizontale... Sans oublier les désopilants Mangeurs de lapin et d'autres surprises à venir!
Les Menteurs
95 min

Les Menteurs

2013 - Mise en scène Jean-Luc Moreau
Chevallier et Laspalès au sommet de leur art dans une comédie anglaise inédite en France. Chargés d'annoncer une mauvaise nouvelle à deux personnes âgées au cœur fragile, deux braves « bobbies » appuient sur la sonnette d'un petit pavillon le soir de Noël. La maladresse des deux policiers n'égalant que leur absence de jugeotte, l'affaire prend rapidement une tournure des plus burlesques. La vieille dame n'a plus toute sa tête, une voisine inquiétante terrorise son monde, un pasteur cache quelque chose, une jeune fille peut en cacher une autre, un chien aboie, puis plus... De coups de théâtre en quiproquos désopilants, on rit sans cesse jusqu'au dénouement le plus inattendu.
La mégère à peu près apprivoisée
94 min

La mégère à peu près apprivoisée

2010 - Mise en scène Alexis Michalik
Battista, vieil aristocrate de Padoue, a un souci : celui de marier sa fille aînée, Katarina,au caractère épouvantable et qui veut toujours avoir le dernier mot.Le jeune seigneur Petruccio, fort en gueule et sans complexe, cherche justement une femme fortunée pour l’épouser.Elle n’est pas prête de se laisser faire… la rencontre explosive d’un couple mythique.
Silence, on tourne !
114 min

Silence, on tourne !

2019 - Mise en scène Patrick Haudecoeur
Une équipe de cinéma a investi un théâtre pour le tournage d’un film. Aujourd’hui on tourne la séquence du mari trompé qui interrompt une représentation pour tuer l’amant de sa femme. Au cours du tournage on va découvrir que le producteur est véreux, que le réalisateur, amoureux de la jeune actrice et dévoré de jalousie, s’est promis de démasquer son rival pour lui faire la peau. L’éternel second rôle, quant à lui, est prêt à toutes les crapuleries pour faire décoller sa carrière et l’assistant-réalisateur doit ménager les uns et les autres, d’autant qu’il rêve de réaliser son premier film avec la jeune actrice dans le rôle principal. Quant au public, il fait partie de l’histoire, c’est le figurant du tournage...
Le Buzz ou comment devenir un vrai people
74 min

Le Buzz ou comment devenir un vrai people

2012 - Mise en scène Eric Carrière, Jean-Marc Longval
Enregistré à Avignon. Le milieu des vedettes attire de nombreux journalistes, avides de scoops et n'hésitant pas à s'insinuer dans la vie privée des futurs sujets de leurs articles. C'est là, dans cet univers de dissimulation et de jeux de dupes, que se noue une intrigue mêlant amour, trahison, sexe et mensonge. Des journalistes flairent un scoop énorme et se mettent en chasse pour le débusquer. Mais tout cela ne serait-il pas un piège ?
Willy en encore plus grand
98 min

Willy en encore plus grand

2016 - Mise en scène Roger Louret
Voix de cartoon, physique d'allumette perpétuellement en surchauffe, Willy se sert de sa gestuelle pour apostropher le public et soutenir ses thèses sur ses origines modestes en HLM... Il nous parle aussi de sa famille Italienne, ses complexes, son désir d'enfant et son nouvel appartement. Agrémenté d'une revue de presse, ce one man show "encore plus grand" où l'auto dérision est le "mètre" mot, ne laissera pas le public indemne. Willy ne triche pas, et ça se voit ! Vous le voyez dans Fort-Boyard sur France 2, vous l'entendez sur Europe 1, vous le voyez à la présentation de l'école des fans sur Gulli, vous l'avez applaudit en Auguste Ramard dans la comédie musicale " 1789 " et bien venez maintenant rire sur scène avec son tout nouveau one man show mis en scène par Roger Louret.
Black M – Eternel Big Black Tour
108 min

Black M – Eternel Big Black Tour

2017 - Mise en scène Black M, HCUE, Raphael Maitrat
L'Artiste : Black Mesrimes est son pseudo complet : c’est un jeu de mots entre le nom de l’ennemi public numéro 1 dans les années 70 et son activité favorite qui consiste à faire des rimes. Voilà ce qui résume le personnage de Black M. De son vrai nom Alpha Diallo, le rappeur né le 27 décembre 1984 se fait connaître comme l’un des membres fondateurs de Sexion d’Assaut. Ses mimiques comme sa façon de rouler les gros yeux ou encore de ponctuer ses chansons par des onomatopées de colère, en font un rappeur à part. Après quelques années de galère, c’est en 2010 que le groupe rencontre son public avec leur premier album L’École des points vitaux. Les hits Désoléet Wati by night deviennent des tubes en un rien de temps. Un franc succès puisque l’album est certifié disque d’or seulement trois semaines après sa sortie. Rapidement, le groupe enchaîne avec un deuxième album, l’Apogée, et remporte grâce à lui deux NRJ music awards. Comme bien souvent dans la carrière des groupes, les membres décident de faire un break. 2014 est l’année des lancements solos. Pour sa part, Black M sort son album solo en mars 2014, intitulé Les Yeux plus gros que le monde. Dès sa sortie, il réalise un carton, porté par les hits Mme Pavoshko, Sur ma route, La Légende Black. Il se hisse directement dans le top des ventes de disques et est certifié disque d’or puis disque de platine. Logiquement, le rappeur est alors récompensé lors de la 16e édition des NRJ Music Awards, remportant le trophée de meilleur clip de l’année pour Mme Pavoshko. 550 000 spectateurs, plus de 800 000 albums vendus, Black M revient avec « Éternel Insatisfait » : des collaborations avec Shakira, MHD, Amadou et Mariam, une tournée dans toute la France à partir du 1er avril 2017 et un concert exceptionnel a l’Accor Hotels Arena de Paris le Samedi 2 décembre 2017 !