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Les juments de la nuit
65 min

Les juments de la nuit

2008 - Mise en scène Bartabas, Anne Perron
80 chevaux, une centaine de cavaliers, danseurs et acrobates, jeux d'eaux et feux d'artifice sur la scène flottante du Bassin de Neptune ! Fondateur du Théâtre Zingaro et de l'Académie équestre de Versailles, Bartabas réunit parfois ses deux ensembles artistiques pour des projets spécifiques : ce fut le cas l'été 2008 à Versailles (dans le cadre des Fêtes de Versailles). Après le Chevalier de Saint-George et le Voyage aux Indes galantes, Bartabas a choisi, pour ce spectacle, d'évoquer l'univers de Macbeth à travers un hommage à Kurosawa (auteur du Château de l'Araignée). Revisiter l'oeuvre du cinéaste japonais fut pour lui l'occasion de faire du Bassin de Neptune un espace cadré en cinémascope. Documentaire : "Les juments de la nuit, récit d'une création" - 52 minutes - référence : 297
Bartabas à la rencontre de Saint George
52 min

Bartabas à la rencontre de Saint George

2005 - Réalisation Arnaud Emery
Des premières réunions de préparation à la première, les coulisses de la création du spectacle de Bartabas "Le Chevalier de Saint-George", au Chateau de Versailles en septembre 2004.Des premières réunions de préparation à la première, les coulisses de la création du spectacle de Bartabas "Le Chevalier de Saint-George", au Chateau de Versailles en septembre 2004.  Captation : "Le chevalier de Saint-George" - 73 minutes - référence : 11
La reprise musicale de l’académie du spectacle équestre opus 2004
75 min

La reprise musicale de l’académie du spectacle équestre opus 2004

2004 - Mise en scène Bartabas
Chorégraphiée par Bartabas sur des musiques baroques, la Reprise Musicale est un spectacle donné régulièrement par les élèves écuyers de l’Académie du Spectacle Equestre de Versailles dans la salle du Manège de la Grande Ecurie du Château de Versailles. Il évoque la raison d’être de l’Académie elle-même : le respect et la réappropriation de la tradition, la transmission du savoir, la rigueur de l’apprentissage. Après le succès de la version 2003, l’opus 2004 de la Reprise Musicale nous donne à voir une suite de tableaux équestres figurant la leçon de Maître, la leçon d’escrime, le Carrousel des écuyers,... Soixante-quinze minutes de virtuosité, de figures savantes, de délicates évolutions pour retrouver la magie éternelle de la complicité entre l’homme et l’animal.
Les juments de la nuit, récit d’une création
52 min

Les juments de la nuit, récit d’une création

2008 - Réalisation Michel Viotte
Les Juments de la Nuit est le troisième spectacle mis en scène par Bartabas à Versailles, utilisant les talents conjugués de l’Académie Equestre de Versailles, qu’il dirige, et de la troupe de Zingaro. Mais pour la première fois, après Le Chevalier de Saint Georges et Voyage aux Indes Galantes, le thème du spectacle n’est pas lié à la Cour du Roi de France. Dans Les Juments de La Nuit, Bartabas a imaginé un univers décalé dans ce lieu, plus proche de celui des spectacles de Zingaro. Il a cette fois puisé son inspiration dans le cinéma : la version de Macbeth réalisée par Orson Welles, et la transposition de la pièce de Shakespeare dans le Japon des seigneurs de la guerre du Château de l’Araignée, par Akira Kurosawa. Les Juments de la Nuit s’annonce comme une série de poèmes visuels épiques et baroques, mettant en scène les songes de Lady Macbeth, et faisant fusionner deux lieux et deux époques : l’Ecosse du XIème siècle et le Japon du XVIème. Une fusion de couleurs aussi, mêlant chevaux « crème », argentins ou lusitaniens. Une fusion de talents, enfin, réunissant danseurs, écuyers de l’Académie et voltigeurs de Zingaro. Captation : Les juments de la nuit - 65 minutes - référence : 309
La voie de l’écuyer
62 min

La voie de l’écuyer

2012 - Mise en scène Bartabas
" J’ai imaginé une compagnie-école, un laboratoire de création, où la notion de travail collectif est fortement défendu. Pour moi, il n’y a pas de transmission du savoir équestre sans développement d’une sensibilité artistique. C’est pourquoi, ici, l’apprentissage du dressage se conjugue avec la pratique de la danse, du chant, de l’escrime artistique ou du Kyudo… Il s’agit de considérer la chose équestre comme un art et non comme une discipline." Bartabas La Voie de l’écuyer est le spectacle de répertoire de l’Académie du spectacle équestre ; décliné en Opus, il évolue et s’enrichit chaque année de l’expérience des écuyers et des progrès des chevaux. Avec le Carrousel des lusitaniens, l’escrime artistique, les improvisations, les longues rênes… ce spectacle évoque l’Académie, corps de ballet équestre unique au monde qui allie création contemporaine, art équestre, patrimoine revisité, appropriation de la tradition et transmission des savoirs.
Le Centaure et l’animal
65 min

Le Centaure et l’animal

2012 - Mise en scène Bartabas
« Guidé par l’homme lors d’un long apprentissage que l’on nomme dressage, le cheval accède à « la connaissance » ; ainsi l’homme et l’animal deviennent centaure. A l’inverse, l’homme possède l’instinct animal à l’origine de sa création qu’il cherche à faire ressurgir comme une évolution à rebours, une régression vers les couches profondes de son être. » Bartabas  L’art de Bartabas nous propulse dans des voyages imaginaires ; ses œuvres vous empoignent par leurs étourdissantes mises en scène, parfois éblouissantes, tourbillonnantes, baroques, parfois mystérieuses, ascétiques, méditatives, proches d’un exercice spirituel, toutes porteuses d’une forte charge poétique. L’ampleur et la profondeur de sa démarche renouent avec les plus anciennes formes connues de l’activité artistique qui prennent l’animal pour sujet et moyen d’expression. Le philosophe Georges Bataille estime que l’invention de l’art « marque le passage de l’animal à l’homme ». L’homme cessa d’être animal en donnant de l’animal et non de lui-même une image poétique qui nous fascine et nous semble souveraine. Être artiste est le moyen d’avoir accès au monde fermé de la vie animale. Il m’a toujours semblé que l’art de Bartabas rentre en résonance sensible avec ce défi. La rencontre de Bartabas avec Ko Murobushi, artiste reconnu au Japon comme l’héritier des règles de Tatsumi Hijikata, à l’origine du Butô, se présente comme une excitante aventure artistique qui examine les frontières et les passages entre deux univers sensibles et exceptionnels. L’intense profondeur de la danse de Ko Murobushi et la force poignante du geste équestre de Bartabas nous ouvriront un continent inattendu qui nous propulsera dans un temps et un espace mythique d’une profonde et rayonnante beauté. JIl existe un documentaire de ce spectacle : Sur les pas du Centaure (ref 430) - réalisation : Jean-Luc Gunst 
Sur les pas du Centaure
51 min

Sur les pas du Centaure

2012 - Réalisation Jean-Luc Gunst
Pour la première fois, Bartabas a accepté la présence d’une caméra dans le secret de son quotidien d’homme de cheval. Jour après jour, la caméra va s’immiscer dans le secret de son univers créatif. Que le décor soit celui de la carrière de Zingaro à Aubervilliers où vivent les chevaux où la scène de la Maison de la Culture de Bobigny où se joue Le Centaure et l’Animal, nous accompagnerons en image et en son les gestes, les paroles et les regards de cet écuyer saltimbanque d’exception. Documentaire du spectacle Le Centaure et l'animal (ref 425) - réalisation : Bartabas et Constance Vargioni
Calacas
62 min

Calacas

2013 - Mise en scène Bartabas
Avec Calacas, (squelette au Mexique), inspiré de la tradition mexicaine de la Fête des morts, le Théâtre équestre Zingaro propose un spectacle époustouflant et poétique où la mort est prétexte à célébrer la vie. Après avoir martelé la terre de son Théâtre équestre Zingaro durant plus d’un quart de siècle, voici que Bartabas s’attaque aujourd’hui au ciel. Et qu’il entend y festoyer de plus belle, en mettant la camarde en cavale et les morts vivants à cheval. Véritable danse de l’âme joyeusement macabre, exécutée sur piste et dans les airs, Calacas évolue comme un double carnaval endiablé au son du tambour des chinchineros, des fanfares mexicaines et des orgues de Barbarie. Avec encore et toujours le cheval, le plus sûr animal psychopompe qui soit comme passeur, coursier, messager et ange gardien. La troupe au grand complet offre au public une grande fresque colorée menée à un rythme d’enfer par ses cavaliers, musiciens et techniciens qui entraînent 29 chevaux éblouissants dans leur danse céleste. Des chevaux qui, au fil des tableaux présentés, tels des passeurs, coursiers, messagers ou anges gardiens conduisent l’âme des morts dans l’au-delà.
Surprise – Cirque d’Hiver Bouglione
92 min

Surprise – Cirque d’Hiver Bouglione

2017 - Mise en scène Joseph J. Bouglione
Au Cirque Bouglione, les spectacles enchanteurs se suivent mais ne se ressemblent jamais. C'est la règle d'or ! Seule l'excellence perdure. Les maîtres des lieux y veillent ; ils ont à coeur de faire toujours rimer excellence avec élégance et flamboyance ! Découvrez les éléphants, les acrobates, les fauves et bien plus encore...Surprise !
Le Haras d’Hennebont – Une histoire en marche
53 min

Le Haras d’Hennebont – Une histoire en marche

2016 - Réalisation Jean-Luc Gunst
Le Haras d’Hennebont est situé au coeur d’un splendide parc arboré. Ses écuries, classées à l’inventaire supplémentaire des Monuments Historiques, sont le berceau du cheval de trait breton. Si à l’origine le Haras n’élevait que des chevaux de guerre et de travail, son activité a évolué au fil du temps et propose aujourd’hui une multitude d’activités autour du cheval : formations, travail des étalons, laboratoire de reproduction, club hippique, promenades en calèche, à poney, sellerie, visites touristiques, expositions et spectacles équestres en été. Depuis sa création par Napoléon III, en 150 ans d’existence, le Haras a essuyé bien des tempêtes. Mais il a su résister et s’adapter grâce aux passionnés qui se sont battus pour conserver ce patrimoine et protéger l’existence de la race bretonne. Le Haras d’Hennebont est en cela un exemple fort d’un combat mené par une région pour préserver sa culture et son patrimoine vivant.  
On achève bien les anges
79 min

On achève bien les anges

2016 - Mise en scène Bartabas
Dans un espace unique - on songe au fond d'un volcan - Bartabas revient sur scène et nous livre une fascinante rêverie équestre et poétique. Pour cette nouvelle création, il redescend dans l'arène tel un archange déchu depuis son purgatoire. Car ici le ciel des anges s’annonce de terre ferme et les envolées se veulent cavalières. Même le paradis des chevaux n’est plus de tout repos. À quel messager se vouer, quand le cercle des enfers ne cesse de s’inverser et les séraphins aux ailes amochées de reconquérir leur royaume ? À quelle étoile se fier quand on marche sur un fil au-dessus des volcans ? À quelle assomption croire quand le châtiment advient au son des grandes orgues ? Avec ce nouveau spectacle, le treizième en trente ans, Zingaro poursuit sa quête indomptable, équestre et poétique, dans l’inconnu. Le rire souvent va aussi l’amble en cette fosse aux chimères chaque fois réinventée, où des clowns blancs aux allures de bouchers s’agitent sur des airs populaires.
Golgota
85 min

Golgota

2014 - Mise en scène Bartabas
Pionnier d'une expression inédite, Bartabas conjugue art équestre, musique, théâtre et danse. Il fonde en 1984 le théâtre équestre Zingaro puis, voilà tout juste dix ans, l’Académie équestre de Versailles pour laquelle il orchestre ces chants magnifiques à la gloire de l’Animal. Pour l’amour de ses chevaux, il construit l’extraordinaire vaisseau d’Aubervilliers, une nef de bois, un rêve et une folie, à la fois démesure et perfection. Opéra équestre, Chimère, Éclipse, Loungta, Triptyk, Battuta, Darshan, Calacas... Ses créations, chefs- d’œuvre avec chevaux, témoignent d’une quête incessante, jalonnée d’interrogations mystiques. Bartabas crée régulièrement pour les théâtres des œuvres plus intimistes basées sur des rencontres rares, comme Le Centaure et l’Animal avec Ko Murobushi au Théâtre national de Chaillot. Il initie alors des propositions plus audacieuses, parfois plus personnelles, dont il se fait l'auteur et l'interprète. Bartabas choisit de partager cette nouvelle aventure avec Andrés Marín, le plus talentueux des étoiles du flamenco contemporain. Chorégraphe, danseur, créateur des pièces Mas alla del tiempo, Asimetrias ou El cielo de tu boca, Andrés Marín fonde sa propre compagnie en 2002, et voyage depuis à travers le monde. Ensemble, ils choisissent les effluves mystiques des œuvres liturgiques de Tomás Luis de Victoria pour ouvrir des voies nouvelles dans leurs disciplines respectives « à la recherche, dit Bartabas, d'une musique silencieuse ». Pierre Notte / Théâtre du Rond-Point