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Le grand bye-bye 2014
136 min

Le grand bye-bye 2014

2014 - Mise en scène Gil Galliot
Régis Mailhot invite sur la scène du Théâtre des Bouffes Parisiens de nombreux humoristes : Laurent Gerra, Anne Roumanoff, Chevallier et Laspalès, Eric Antoine, Olivier de Benoist, Stéphane Bern, Julien Courbet, Caroline Vigneaux… pour passer en revue, à travers de nombreux sketches, les événements les plus marquants de l'année 2014. Spectacle sarcastique, pince sans rire, insolent, détonant, pétillant, enlevé et rythmé tantôt par l'humour noir, tantôt par l'absurde, ancré dans la réalité tout en le détournant avec l'humour décalé de Régis Mailhot et de ses invités. Des imitations sont distillées tout au long du spectacle… des invités surprises s'invitent aux côtés de Régis Mailhot, permettant une grande liberté de ton… de tous bords !
Le Tartuffe
139 min

Le Tartuffe

2017 - Mise en scène Michel Fau
Pour la première fois réunis sur scène, Michel Bouquet et Michel Fau seront Orgon et Tartuffe. Après L'avare et Le Malade Imaginaire, Michel Bouquet retrouve la scène du Théâtre de la Porte St-Martin, pour une série exceptionnelle de l'une des plus fortes comédies de Molière. Orgon et sa mère, Madame Pernelle, ne jurent que par Tartuffe, qui se dit dévot et vit à leurs crochets. Les autres membres de la famille partagent quant à eux le sentiment de la suivante Dorine, scandalisée par l'emprise de l'homme d'église sur son maître. Ils vont tout entreprendre pour convaincre Orgon que Tartuffe est un hypocrite de la pire espèce. Rien n'y fait, ni les mises en garde du beau-frère Cléante, ni les supplications de Mariane – la fille promise en mariage à l'imposteur. Il faudra toute la ruse d'Elmire, sa femme, pour qu'Orgon ouvre enfin les yeux sur les desseins de Tartuffe. Au moment d'être chassé de la maison, ce dernier brandit un acte de donation qui en fait le nouveau propriétaire. Et seule une intervention royale, véritable deus ex machina, sauvera la famille de la ruine.
L’affaire de la rue Lourcine
87 min

L’affaire de la rue Lourcine

2008 - Mise en scène Macha Makeïeff, Jérôme Deschamps
À leur réveil après une nuit de bringue, deux bourgeois, affreux pochards, ont le vague sentiment qu'ils ont assassiné une pauvre charbonnière, rue de Lourcine, au cours de leur déambulation nocturne. S'ensuit une cascade ahurissante de méprises, de mensonges et de crimes en série. Tout finira par des chansons. C'est du Labiche. Contrairement à une certaine tradition théâtrale qui se revendique iconoclaste et se révèle “bric à brac”, la mise en scène de Jérôme Deschamps rend hommage aux icônes étriquées de l’univers petit-bourgeois labichien et leur construit un monument : une complexe machine théâtrale. Sa mécanique dramaturgique et scénique est extrêmement bien huilée, rigoureusement agencée, minutieusement réglée et produit régulièrement des étincelles ! Riche en ressorts burlesques et en péripéties scabreuses, la pièce de Labiche est encore agrémentée ici d’exagérations savoureuses, d’incursions farfelues, de gestes maladroits acrobatiquement contenus pour éviter la catastrophe, de mimiques ironiques ou de satires grinçantes. Le décor de Macha Makeïeff est un véritable écrin, non pas une boîte hermétiquement fermée préservant un trésor de toute altération, mais un espace bourgeoisement tapissé, où les portes battent sans cesse, où les interprètes s’entrechoquent, se cognent au mur et rebondissent, “rocambolesquement”. Ils émaillent littéralement leur jeu au contact des richesses dramatiques que recèle l’intérieur du couple Lenglumé (qui est ici tout sauf englué). Bref, c’est un espace scénique qui ne recueille pas, mais génère lui-même des perles ! Effectivement, le grain de sable qui s’y glisse, ou plutôt la poussière de charbon, grossit bien vite, sans pourtant jamais enrayer la machine, lancée à plein régime.
Les étourdis
44 min

Les étourdis

2005 - Mise en scène Macha Makeïeff, Jérôme Deschamps
Un patron déjanté et tyrannique règne sur son monde de petits employés, tous plus inadaptés les uns que les autres au monde du travail et à sa rationalité. Les étourdis vont jusqu’au bout nous démontrer leur entêtement à ne pouvoir rien faire comme il le faudrait, non sans humour et ironie.