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De Fatna à Rachida
26 min

De Fatna à Rachida

2005 - Réalisation Julien Bur
Retour sur le parcours singulier de cette jeune artiste, de ses débuts pas toujours évidents à son éclosion aux yeux du grand public. Ce documentaire qui accompagne le spectacle “La vie rêvée de Fatna” nous permet de découvrir une Rachida Khalil émouvante qui a su se construire par-delà ses doutes et s’affirmer en France sans renier ses origines, grâce au soutien d’illustres mentors comme Guy Bedos.Documentaire de la pièce "La vie Rêvée de Fatna", référence 167
La vie rêvée de Fatna
78 min

La vie rêvée de Fatna

2005 - Mise en scène Hélène Darche
Les textes de Rachida Khalil et de Guy Bedos nous racontent, avec une joie féroce, les destins croisés de trois femmes d'aujourd'hui, par petites touches, parfois corrosives ou poignantes, mais toujours drôles. Fatna, la tante restée au bled, Karima, la jeune femme qui veut devenir actrice, Sophie, la voisine de Mantes-la-Jolie, sont empêtrées dans un quotidien parfois difficile mais trouvent la force de rêver et de vouloir changer leur destin…
Jean Gabin, gueule d’amour
88 min

Jean Gabin, gueule d’amour

2001 - Réalisation Michel Viotte
En mêlant archives télévisuelles et photographiques rares avec des entretiens inédits, ce film propose de découvrir les liens étroits existant entre le parcours de l’homme, Jean-Alexis Moncorgé, et l’évolution de la carrière de l’acteur. De nombreux extraits de long-métrages de fiction permettent de parcourir une filmographie sans équivalent.
Requiem fur eine metamorphose
116 min

Requiem fur eine metamorphose

2007 - Mise en scène Jan Fabre
Jan Fabre crée son propre Requiem, sous la forme d'une messe funèbre théâtrale dans laquelle la vie occupe une place centrale. Fabre redonne vie à la mort, la fête, la danse et la vénère comme faisant partie intégrante d'un cycle sans fin. La mort est un moment qui recèle des silences secrets. Mais c'est aussi un concert assourdissant de souvenirs, d'images et de fragments de vies disparues, désagrégées. Dans la mort, la vie revient en pagaille : un puzzle d'anecdotes, de stupidités, de chambres privées et de sublime fugacité. La mort est remplie de larmes, mais au-delà de ces pleurs, sous les larmes, bien après ou parfois juste par-dessus, il y a cet étrange sourire en coin de la vie. Encore et encore. La mort ensorcelle la vie. La vie ensorcelle la mort. Notre monde ne sait pas bien comment se gérer la mort. Ou plutôt, si : il la relègue le plus loin possible. Il n'y a littéralement plus de place pour les morts. Ce faisant, nous nous défendons de l'un des plus profonds mystères de la vie. La mort n'est pas un moment clinique. C'est une phase de transformation, l'âme déménage, le corps se rabougrit, la peau s'évente et disparaît. La terre, ce grand amas de morts, plante ses crocs dans ce qu'il en reste, affamée, insatiable. Or, un peu plus tard, la vie nous saute à nouveau au visage. Mûrir et pourrir. Ce n'est pas beaucoup plus que ça. Mais son éternelle fougue déborde d'une énergie démesurée. Comme la vague qui vient mourir sur le sable. Sans fin ni début. Le Requiem est une messe funèbre. Fabre nous entraîne dans la chambre funéraire de la mort. Il prend le pouls du mort, mesure sa température et lui tapote les fesses. La messe funèbre est une fête, un adieu, un nouveau départ.