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Le grand bye-bye 2014
136 min

Le grand bye-bye 2014

2014 - Mise en scène Gil Galliot
Régis Mailhot invite sur la scène du Théâtre des Bouffes Parisiens de nombreux humoristes : Laurent Gerra, Anne Roumanoff, Chevallier et Laspalès, Eric Antoine, Olivier de Benoist, Stéphane Bern, Julien Courbet, Caroline Vigneaux… pour passer en revue, à travers de nombreux sketches, les événements les plus marquants de l'année 2014. Spectacle sarcastique, pince sans rire, insolent, détonant, pétillant, enlevé et rythmé tantôt par l'humour noir, tantôt par l'absurde, ancré dans la réalité tout en le détournant avec l'humour décalé de Régis Mailhot et de ses invités. Des imitations sont distillées tout au long du spectacle… des invités surprises s'invitent aux côtés de Régis Mailhot, permettant une grande liberté de ton… de tous bords !
Sans filtre
99 min

Sans filtre

2015 - Mise en scène Laurent Baffie
Philippe Maurice, buraliste, n'a plus de filtre. Pas dans sa boutique, non, dans sa tête. Pour une raison inconnue il dis tout ce qu'il pense à tout le monde, et ce dans un langage fleuri… Beaucoup de personnes rêveraient de pouvoir se lâcher totalement et dire toutes les horreurs qui leur traversent l'esprit, mais pas lui, car sa vie est devenue un enfer. Heureusement, une équipe de médecins très soudés va se pencher sur son cas pour essayer de résoudre le problème… Et là, c'est le drame…
Promenade obligatoire
66 min

Promenade obligatoire

2014 - Mise en scène Anne Nguyen
Influencée par un cursus scientifique, l’écriture chorégraphique d’Anne Nguyen se situe à la croisée du hip-hop, des sciences et de la danse contemporaine. Elle met en lumière les performances techniques de la danse hip-hop tout en déstructurant la gestuelle, créant ainsi un vocabulaire sobre et fluide. En imposant des contraintes géométriques, elle invente une nouvelle mise en espace de la danse. PROMENADE OBLIGATOIRE est une traversée ininterrompue pour huit poppeurs, une marche dans le sens unique du temps, qui porte une réflexion sur l’« être ensemble » dans une société toujours en mouvement. En lutte contre le déterminisme et leur propre enfermement, les danseurs avancent inéluctablement dans des couloirs lumineux, comme une matière mouvante, créant une incroyable frise chronologique vivante… Surprenant ! Anne Nguyen est une chorégraphe à forte personnalité qui compte aujourd’hui dans le paysage chorégraphique hip-hop.
Répliques en rire pour Haiti
91 min

Répliques en rire pour Haiti

2010 - Mise en scène Rémy Caccia
Soutenir Haïti peut aussi passer par l'humour. Nombreux sont venus rire et se divertir au Casino de Paris avec des artistes solidaires et engagés : Anne Roumanoff, Tex, Les chevaliers du Fiel et bien d'autres. Grâce à leurs zygomatiques, Aide et Action, présente en Haïti depuis plus de 20 ans, a permis de développer son programme Nap Vansé (Nouveau départ en haïtien) et permettre ainsi aux enfants et aux orphelins de retrouver une vie "normale".
Amalgames
41 min

Amalgames

2014 - Réalisation Benjamin Silvestre
En 2013, le Palais des Papes ouvrait ses portes à la danse et au festival Les Hivernales, pour un marathon Bagouet qui conduisait le public à travers le Grand Tinel, la Grande Chapelle et la Grande Audience. Pour cette deuxième collaboration, Anne Le Batard et Jean-Antoine Bigot de la compagnie Ex Nihilo vont créer dans la Grande Chapelle,Amalgame(s), création in situ. Ils proposent d’y mettre en jeu la modestie des corps en relation avec l’immensité de ce lieu plus que chargé d’histoire. Ils veulent jouer sur la résonance sonore de la salle pour les musiciens et sur la dispersion dans l’espace pour les danseurs. Cette nouvelle création prend toute sa dimension avec la présence dans le spectacle du guitariste et compositeur Pascal Ferrari, accompagné du batteur Régis Boulard. Ce sont les danseurs Corinne Pontana et Rolando Rocha, avec lesquels ils travaillent et partagent depuis plusieurs années le plaisir et le défi de poser la danse dans les espaces les plus improbables, qui les accompagneront.
Fanny et Alexandre
153 min

Fanny et Alexandre

2019 - Mise en scène Julie Deliquet
C’est dans une atmosphère joyeuse que commence l’histoire. Fête de Noël, fête familiale qui regroupe autour d’Helena Ekdahl ses trois fils, leurs femmes, leurs enfants, les servantes ainsi que les acteurs du théâtre dirigé par Oscar, époux de la belle actrice Emilie. À la mort d’Oscar, Emilie abandonne la direction de la troupe qui lui avait été confiée pour épouser l’évêque Edvard. Elle en a assez de jouer des rôles, elle veut vivre dans la vérité, la passion. Et ce sera en effet une passion, au sens le plus tragique du terme. Dans la maison sinistre où elle s’installe avec ses deux enfants, Alexandre et Fanny, l’évêque dévoile sa vraie nature : puritaine, sadique, perverse...
Représailles
96 min

Représailles

2017 - Mise en scène Anne Bourgeois
"C’est le soir du mariage de sa fille que Francis se fait prendre, la main dans le sac, par sa femme, Rosalie, qui découvre ses nombreuses infidélités. Le divorce qui s’annonce semble perdu d’avance pour Francis qui craint de se voir dépouiller, et puis, il aime toujours Rosalie. Alors, pourquoi ne pas signer la paix ? Mais on ne rattrape pas un mensonge par un autre mensonge. Sa maladresse et sa mauvaise foi vont provoquer les pires représailles de sa femme. "
Le Cabaret de l’Exil
79 min

Le Cabaret de l’Exil

2022 - Mise en scène Bartabas
37 ans après la création de son premier « Cabaret équestre », Bartabas revient à cette forme conviviale pour partager les musiques et chansons qui rappellent un pays quitté mais jamais oublié et renouent le lien secret vers des racines ancestrales. Ce premier Cabaret de l’exil célèbre la culture yiddish et les musiques klezmer des communautés juives d’Europe de l’Est. Bartabas invite les musiciens du Petit Mish-Mash et le comédien Rafaël Goldwaser à se joindre à sa tribu mi-hommes mi-chevaux, pour un cabaret joyeux et nostalgique aux couleurs de Chagall. Une invitation au voyage...
Ce que le djazz a fait à ma djambe
90 min

Ce que le djazz a fait à ma djambe

2017 - Mise en scène Jacques Gamblin
Jacques Gamblin danse le blues, le groove, le funk. Il écrit, incarne et dit des textes lors d’un concert hors cadre. En freestyle poétique, avec Laurent de Wilde, il invente un dialogue à sept voix de jazzmen pour une folie musicale. D’abord au piano, Gamblin joue quelques notes puis tente les autres instruments. Vite, il abandonne car il se dit "mauvais" . Pourtant la musique a toujours été là, dans son coeur, dans sa vie. Attrayante, aguicheuse, audacieuse et sauvage. Jeune homme démotivé par une professeure intransigeante, il ouvre ses oreilles pour se nourrir de la musique à défaut de la jouer. C’est donc avec des mots, que Gamblin , avec Laurent de Wilde, invente un dialogue à sept voix de jazzmen pour une folie musicale.
Céséna
98 min

Céséna

2011 - Réalisation Jan Claes, Olivia Rochette
Présenté en 2011 dans la Cour d’Honneur du Palais des Papes d’Avignon à quatre heures et demie du matin, Cesena se présente comme le prolongement d’En Atendant. Cette pièce, qui amorce un mouvement de l’obscurité vers la lumière, avait en réalité été conçue en premier dans l’esprit de la chorégraphe belge mais des raisons matérielles avaient reporté sa création. Dans Cesena, Anne Teresa De Keersmaeker poursuit son travail autour de l’Ars Subtilior, ce courant de musique polyphonique d’une grande complexité apparu à la Cour papale au XIVe siècle. Cette fois-ci, elle s’est entourée des musiciens du groupe Graindelavoix. Sur scène, six chanteurs et treize danseurs, des hommes pour la plupart, tentent ainsi de fusionner leurs danses et leurs voix dans une pièce dépouillée qui fait appel à nos perceptions les plus fines. Dans le calme et la pénombre, danses et chants se mêlent, luttent contre la gravité et tracent un chemin vers la lumière. Ils nous invitent à entendre le mouvement, à regarder les sons. À parler et penser un ton plus bas pour mieux percevoir le mystère des choses. Plus qu’un spectacle, ce qui nous est proposé ici, c’est de partager l’expérience fondamentale d’une danse qui remet au centre la question de notre matérialité, de notre condition de mortels.
Le suicidé
157 min

Le suicidé

2011 - Mise en scène Patrick Pineau
S’il est un metteur en scène qui incarne à lui seul le théâtre et l’esprit de « troupe », c’est bien Patrick Pineau. Fasciné par les comédiens et les grands textes, il décide de monter ce Suicidé férocement drôle, une des créations les plus attendues du 65e Festival d’Avignon. La vie de Sémione Podsékalnikov prend un drôle de tour quand sa femme le surprend en train d’engloutir un saucisson… qu’elle prend à tort pour un revolver. La rumeur de sa pseudo-tentative de suicide se répand alors plus vite qu’un verre de vodka avalé cul sec. Le quiproquo est total, chacun essayant de dissuader, puis finalement d’encourager - pour la bonne cause - le pauvre Sémione au suicide. Il devient alors un futur héros de l’intelligentsia, condamné à mort par lui-même. Le texte de Erdman est une formidable pièce pour les acteurs, une farce noire pleine de force de vie et d’humour. Songer que cette oeuvre, écrite en pleine ère stalinienne, a été interdite jusqu’en 1987 donne la mesure de sa portée subversive. Une comédie loufoque et mordante servie par des acteurs de premier ordre : Anne Alvaro, Hervé Briaux, Sylvie Orcier et Patrick Pineau en tête.
Architecture
209 min

Architecture

2019 - Mise en scène Pascal Rambert
Architecture, une brutale histoire de famille qui s’apparente à un naufrage. Aux lendemains de la première guerre mondiale et aux portes de l’Anschluss, au sein d’une période nourrie d’espoir et de combats, chaque membre de cette famille, aussi brillant soit-il – compositeur, architecte, philosophe, écrivain, scientifique, actrice, peintre – pense encore que donner sa vie pour la pensée et la beauté a un sens. Mais si eux, les plus talentueux des talentueux, n’ont pu empêcher le sang, comment ferons-nous si le sang se présente à nouveau ?
Le Placard
86 min

Le Placard

2015 - Mise en scène Francis Veber
La nouvelle pièce de Francis Veber, adapatée du film sortie en 2001 !François Pignon, modeste comptable dans une usine spécialisée dans la fabrique de préservatifs, très ignoré des autres, apprend qu’il va être licencié. Voulant se jeter de son balcon, il est arrêté dans son élan par son nouveau voisin, qui lui conseille de se faire passer pour homosexuel afin de ne pas perdre sa place. Le stratagème fonctionne si bien que François garde sa place et que le regard des autres change...
Richard III (Ludovic Lagarde)
92 min

Richard III (Ludovic Lagarde)

2007 - Mise en scène Ludovic Lagarde
Cette adaptation de la pièce de Shakespeare a ceci de particulier qu'elle déplace la perspective habituelle : ce sont les femmes, dans ce "Richard III" qui sont les réceptacles de la douleur. Le public découvre Richard III à travers les yeux de la duchesse d’York, atterrée par la tyrannie de son fils, mais dominée par son amour maternel pour cet enfant qu’elle a vu tourner au monstre depuis sa naissance. Dédaignant toute péripétie anecdotique, Peter Velherst se concentre sur les motifs émotionnels des protagonistes. Il dissèque le cœur ténébreux de Richard, dans lequel le mal se mesure à la recherche de l’innocence, à la quête d’un monde plus pur et à la soif d’amour que Richard invoque pour légitimer la violence. Etablissant des parallèles avec les criminels d’aujourd’hui infanticides, terroristes, chefs de gouvernement Verhelst campe un Richard III étonnamment complexe et contemporain.
La presse est unanime
105 min

La presse est unanime

2003 - Mise en scène Agnès Boury
La critique est aisée, l'art est difficile, écrivait l'oublié Philippe Destouches. Peut-être, mais quand il s'agit pour un journaliste de critiquer sa propre femme comédienne alors non seulement c'est difficile, mais ça peut même devenir de l'art, ce soir en tout cas, ce sera du théâtre. Quand j'ai commencé à imaginer le rôle de Stéphanie Grumet, j'ai tout de suite pensé à mon amie Isabelle Mergault, poussé par mon envie de la voir remonter sur les planches. Elle a accepté et je lui en serai éternellement reconnaissant. Il fallait alors l'entourer et bien l'entourer ; et pour ça, faire appel à des amis. Je dois avouer qu'au départ je n'aurais jamais pensé que Gérard Miller quitterait provisoirement son divan et les plateaux TV pour jouer sur les planches le rôle d'un critique du Figaro ; mais Gérard n'est jamais là où on l'attend et vous allez vous aussi, j'espère, le trouver inattendu. La présence d'Isabelle Alonso, de Claude Sarraute et de Raphaël Mezrahi, compagnons de route des paris les plus audacieux, s'imposait alors d'elle-même. L'aventure devenait vraiment collective. Et puis, quitte à surprendre et prendre tous les risques, Steevy nous rejoint pour compléter une affiche intrigante. Je tiens ici particulièrement à saluer Agnès Boury qui a su oser accompagner cette "équipe d'aventuriers". Merci , donc, à tous d'avoir eu le courage de faire confiance à cette troupe de kamikaze, tous unanimes pour vous distraire ce soir. Laurent Ruquier
Landru
107 min

Landru

2006 - Mise en scène Jean Luc Tardieu
Guillotiné le 24 février 1922 à l’âge de 52 ans, Henri-Désiré Landru, petit fonctionnaire du crime, fut le premier serial killer célèbre du XXe siècle. Fiancé professionnel, l’homme à la barbe célèbre tua 11 fois dans les années 1915 à 1919, niant l’évidence jusqu’au bout et faisant preuve d’un rare cynisme et d’un réel talent d’humoriste pendant toute la durée de son procès. Bien que soupçonné d’avoir brûlé dans la chaudière de sa maison de Gambais les femmes qu’il avait recrutées par petites annonces, il fit rire tout Paris, rendit célèbre son avocat, Maître de Moro Giafferri, et fut soutenu jusqu’au bout par la seule femme qu’il aimait, sa maîtresse, Fernande Segret. En trois actes - la pièce a été écrite en 1995 - Laurent Ruquier a décidé de vous faire revivre l’historique vie de Landru, de la période vaudevillesque pendant laquelle il jonglait entre les rendez-vous avec ses futures victimes, ceux avec sa maîtresse et ceux avec sa femme et ses enfants jusqu’à son arrestation, son procès et sa condamnation à mort.
Les conjoints
90 min

Les conjoints

2011 - Mise en scène Jean-Luc Moreau
Dans un couple, la vérité est toujours mise à rude épreuve tandis que le mensonge ne demande qu'à s'installer. Les conjoints nous rappelle que le bonheur n'est pas un état permanent mais un équilibre précaire. Fertile en rebondissements, l'intrigue, qui mêle le pouvoir ravageur de l'argent et le jeu subtil des sentiments, met en scène deux hommes et deux femmes ballotés entre leur éthique, leurs intérêts et leurs émotions. Tout le monde a quelque chose à revendiquer. Tout le monde a quelque chose à cacher. Tenté par la transgression mais soucieux du qu'en dira-t-on, chacun se débat avec ses raisons. Bonnes et mauvaises, petites et grandes, morales et obscures. Une comédie fine et piquante qui est en équilibre entre gravité, légèreté et vivacité.
L’Avare
160 min

L’Avare

2018 - Mise en scène Ludovic Lagarde
Harpagon a du pain sur la planche : enterrer son trésor dans le jardin, épouser la toute jeune Mariane, imposer sa loi à ses enfants, nouer et dénouer des intrigues domestiques, organiser un banquet au rabais. Quelle activité pour ce grand économe ! Ludovic Lagarde s'attaque à une comédie culte avec un Harpagon drôle, pathétique et féroce joué par Laurent Poitrenaux. Il est entouré de Christèle Tual, Julien Storini et des comédiens du Nouveau collectif artistique associé à la Comédie de Reims.
Titoff – 15 ans de scène
78 min

Titoff – 15 ans de scène

2017 - Mise en scène Laurent Junca
15 ans de scène ça se fête ! Il y a 15 ans, c'est en pionnier du stand-up que Titoff débarquait sur les planches parisiennes... Il avait pour alliés son jean, son tee-shirt noir, ses baskets, ses cheveux en bataille et un paquet de chips, parce que les chips c'est pas bon mais c'est bon. Avec son regard toujours décalé sur ce monde qui devient fou, ce spectacle ne vous laissera pas une seule seconde de répit. Et vous fera voyager dans le monde déjanté de Titoff au rythme d'un tango endiablé. Ma où ki sont passés ces 15 ans ? Des chips au Kinder Bueno, en passant par le chasseur, le cosmonaute Popov, ou les toilettes des filles, beaucoup de surprises au programme, avec des inédits, des révélations, des guests, enfin, que du plaisir.
Grosse chaleur
95 min

Grosse chaleur

2005 - Mise en scène Patrice Leconte
En vacances dans le Lubéron, un haut fonctionnaire épris de bonne pensée boboïsée doit supporter dans son havre de tranquillité une ribambelle de gêneurs et d'empêcheurs d'arroser en rond. Femme, enfant et belle-mère au premier rang, beau-frère et belle-soeur en cadeau bonus. S'ajoutent une terrible canicule et une mère restée seule dans son appartement à Paris... Le cocktail est bouillant, voire explosif... avec cette chaleur ça va être dur de le garder frais.
Si c’était à refaire
88 min

Si c’était à refaire

2005 - Mise en scène Jean-Luc Moreau
Dans la clinique du docteur Jouvence, les femmes célèbres ou anonymes se bousculent pour se faire refaire le nez, les seins, la bouche ou les hanches… L’arrivée d’une nouvelle secrétaire et la jalousie de Mme Jouvence ne vont rien arranger au monde de la chirurgie esthétique.
Parce que je la vole bien
83 min

Parce que je la vole bien

2011 - Mise en scène Jean-Luc Moreau
Une vieille dame milliardaire est très généreuse avec un dandy mondain qui l’amuse follement. La fille et le gendre de la vieille dame n'apprécient pas de voir leur héritage ainsi dilapidé. Le décor est celui d'un cossu salon bourgeois. Trois personnages vont s’affronter. La mère, Madame Caquencourt maraboutée par un dandy mondain, Jean-Florent Marnier, et la fille, tous trois rejouent à leur façon une des affaires familiales les plus passionnantes de ces dernières années qui faillit s'achever en tragédie grecque : celle de la famille Bettencourt. Mais la solitude et la vulnérabilité de la vieillesse sont aussi l’autre sujet de Parce que je la vole bien et ce thème n'intéressera pas que les milliardaires ! Toute ressemblance ou similitude avec des personnages existant ou ayant existé n'aurait qu’un seul but : vous faire rire.
Lamine Lezghad – Impeccable !
73 min

Lamine Lezghad – Impeccable !

2012 - Mise en scène Lamine Lezghad
Révélé par l'émission de Laurent RUQUIER sur FRANCE 2 « On ne demande qu'à en rire » dont il est devenu l'un des piliers les plus brillants, recruté par Isabelle GIORDANO dans son émission « Les Affranchis » sur FRANCE INTER où il sévit chaque semaine, LAMINE LEZGHAD revient avec un spectacle largement renouvelé, augmenté et aggravé : « IMPECCABLE ! », qui triomphe depuis février 2012 au Théâtre Le Temple à Paris. « Très à l’aise en impro, Lamine Lezghad sait rebondir sur les réactions d’un public aussi séduit par sa générosité. Un jeune talent à suivre de près. De très près même. » TÉLÉRAMA « Un spectacle efficace et carré, mais drôle, délirant et extrêmement sympathique.» L’EXPRESS
La cage aux folles
124 min

La cage aux folles

2011 - Mise en scène Didier Caron
Georges et son compagnon Albin tiennent un célèbre club de revue travestis à Saint-Tropez dont Albin, alias Zaza Napoli en est également la vedette. Georges fait tout son possible pour tempérer les caprices de la diva et ses sauts d’humeur qui rythment leur longue vie commune. Mais l’arrivée de Laurent, le fils de Georges va bousculer cette pittoresque plénitude. En effet, ce dernier vient annoncer à son père son désir d’épouser Muriel Dieulafoi, une jeune fille de bonne famille dont le père est un homme politique en vue dans la région. Et Laurent de rajouter que ses futurs beaux-parents veulent rencontrer ses parents dans deux jours ! Georges et Albin vont alors tenter de se muer en parents modèles, dépourvus de toute équivoque. Mais chassez le naturel et il revient au galop !
Richard III (Thomas Jolly)
240 min

Richard III (Thomas Jolly)

2016 - Mise en scène Thomas Jolly
Le monstre sculpte sa statue  En Avignon, à la fin des intégrales des trois parties de Henry VI, les spectateurs debout après dix-huit heures de spectacle scandaient : «Richard III ! Richard III !» Ils sont aujourd’hui exaucés : Thomas Jolly, qui interprétait lui-même le rôle du sinistre Duc de Gloucester, va conduire son personnage jusqu’à son couronnement puis l’accompagner dans sa chute, au terme d’une dernière bataille... Richard est le premier grand maître de la mise en scène de soi que le théâtre ait produit. Ou du moins le premier personnage théâtral depuis Dionysos en personne (dans Les Bacchantes d’Euripide) à se mettre soi-même au monde théâtralement, sous le regard fasciné d’autrui. Si Richard est un être aussi extraordinaire, cela tient à ce qu’il est aussi son propre auteur, fils de ses œuvres, et que celles-ci, puisant leur énergie dans le goût de l’excès et l’irrépressible sens du jeu de leur auteur, témoignent de la sûreté de ses dons artistiques. Richard se veut roi – nulle autre identité ne saurait lui suffire. Or cette identité royale lui est interdite. S’il veut pouvoir accoucher de sa royauté, il lui faut se frayer seul sa voie, que ce soit par la ruse – en multipliant les masques – ou par la force, et au besoin à coups de hache (ainsi qu’il le dit lui-même dans l'acte III, scène 2 du troisième Henry VI). Il lui faut simultanément éliminer ses rivaux dynastiques au sein de sa propre famille (d’abord son frère Clarence, puis ses neveux Édouard et Richard, princes du sang et héritiers légitimes de son autre frère, Édouard IV), réduire à l’impuissance ses rivaux politiques (dont sa belle-sœur, la reine Élisabeth, ainsi que ses frères et ses fils d’un premier lit) et travailler à asseoir sa propre légitimité (par exemple en épousant Lady Anne, veuve du fils d’Henry VI). À première vue, la tâche paraît impossible. C’est précisément le contraste entre cette impossibilité initiale et les ressources d’intelligence rusée ou de soudaine brutalité que Richard, un effroyable sourire aux lèvres, déploie pour enfin la surmonter qui contribue à nourrir notre plaisir de spectateur – plaisir qui n’est sans doute pas sans rapport avec le souvenir des joies païennes ou enfantines que nous devons au cirque. Car Richard a quelque chose du pur histrion (ainsi lorsqu’il fait retomber sur la tête de Marguerite, la vieille reine-mère, les malédictions dont elle comptait l’accabler). Mais il est également un peu hypnotiseur – voyez comment il séduit Lady Anne. Un dompteur, aussi, qui n’a pas son pareil pour mater, soumettre ou encager les grands fauves politiques qui lui barrent la route. Et si l’on veut, un peu escamoteur : il propage des bruits sur Clarence qui entraînent sa condamnation à mort, puis fait opportunément disparaître la grâce trop tardive que lui accorde Édouard (et les remords du roi, déjà éprouvé par une longue maladie, précipitent sans doute son agonie). Richard, en somme, n’est pas seulement une abomination de la nature, un bossu, un pied-bot, doté de dents dès sa naissance. «Richard» est le nom d’une machine à produire des possibilités théâtrales inouïes, proprement impensables. Derrière le monstre, il faut saluer le tour de force, voire le chef- d’œuvre d’une volonté de puissance qui ne cesse, scène après scène, de sculpter sa propre statue. Trente-deux ans après l’inoubliable monstre d’Ariel Garcia Valdès, voici donc un autre Richard qu’on vit grandir en Avignon, reprenant à nouveaux frais le cérémonial de sa propre invention, puis de sa déroute : après l’intégrale des Henry VI, la bande de la Piccola Familia est de retour pour mener à son terme, avec leur contagieuse vitalité, l’une des aventures théâtrales les plus follement ambitieuses de la décennie.
Iphigénie
120 min

Iphigénie

2022 - Mise en scène Anne Théron
Depuis l’Antiquité, la malédiction qui frappe la famille des Atrides hante le théâtre occidental. Racine comme Euripide se sont penchés sur Agamemnon, ce père qui, pour convoquer les vents nécessaires afin de rallier Troie et gagner la guerre, fait avancer sa fille, Iphigénie vers la mort. Mais c’était sans compter sur Tiago Rodrigues qui n’aime rien moins que tordre les chefs-d’œuvre du répertoire pour en filtrer une dimension inconnue. Dans cette interprétation du mythe, le dramaturge lisboète se demande quelle pourrait être la destinée de la dernière-née de la lignée si les hommes – qui décident de son sort –n’étaient pas soumis à l’autorité des dieux ? Une approche de la jouissance du libre-arbitre qui a immédiatement séduit Anne Théron dont le travail explore souvent le cri intérieur des femmes qu’elle convoque dans d’exceptionnelles mises en scène faites de sensations aussi sonores que visuelles, plastiques que théâtrales. « Clytemnestre est un personnage gigantesque. Elle demande aux hommes de renoncer. (…) C’est une femme en colère fermement décidée à ce qu’Agamemnon soit responsable de son crime face à l’histoire. En ce sens, elle fabrique ainsi une autre mémoire de la tragédie pour nous qui la regardons aujourd’hui. C’est vertigineux ! »Qu’il combine histoires vraies et fictions, qu’il revisite des classiques ou adapte des romans, Tiago Rodrigues est profondément marqué par la notion d’écriture faite avec et pour les acteurs. Tiago Rodrigues est l’auteur entre autres des pièces By Heart, Bovary, mais aussi d’Antoine et Cléopâtre et Sopro que les spectateurs du Festival d’Avignon ont découvertes en 2015 et 2017
Le Quatuor – Danseurs de cordes
99 min

Le Quatuor – Danseurs de cordes

2012 - Mise en scène Alain Sachs
Depuis trente ans maintenant Le Quatuor offre son talent et sa folie à un public de plus en plus large. Auréolée de ses nombreuses récompenses, ce n’est pas un vain mot de dire que cette formation est devenue une incontournable référence en matière d’humour musical. Une fois de plus, Le Quatuor continue à inventer : Danseurs de Cordes est un spectacle intégralement nouveau. Queues de pie et instruments à cordes sont toujours de mise, bien sûr (on ne change pas les fondamentaux), mais des surprises, il y en a à foison et pour tous les goûts : un voyage en Opéra, un hommage aux plus belles chansons d’amour, une inénarrable séance d’enregistrement en studio qui vire au cataclysme, une veillée que ne renieraient pas Les Marx Brothers, et tant d’autres choses encore à découvrir ! Danseurs de Cordes, bien nommé, fait aussi la part belle à la danse et au chant. C’est un spectacle total. Jean-Claude Camors, Pierre Ganem, Jean-Yves Lacombe et Laurent Vercambre bougent et dansent comme jamais et on est heureux de (re)trouver leurs voix magnifiques, superbement placées, aux tessitures étonnantes. Quant à l’humour, toujours percutant, il est embusqué au détour de chaque image et savamment distillé par la mise en scène poétique d’Alain Sachs.
Les juments de la nuit
65 min

Les juments de la nuit

2008 - Mise en scène Bartabas, Anne Perron
80 chevaux, une centaine de cavaliers, danseurs et acrobates, jeux d'eaux et feux d'artifice sur la scène flottante du Bassin de Neptune ! Fondateur du Théâtre Zingaro et de l'Académie équestre de Versailles, Bartabas réunit parfois ses deux ensembles artistiques pour des projets spécifiques : ce fut le cas l'été 2008 à Versailles (dans le cadre des Fêtes de Versailles). Après le Chevalier de Saint-George et le Voyage aux Indes galantes, Bartabas a choisi, pour ce spectacle, d'évoquer l'univers de Macbeth à travers un hommage à Kurosawa (auteur du Château de l'Araignée). Revisiter l'oeuvre du cinéaste japonais fut pour lui l'occasion de faire du Bassin de Neptune un espace cadré en cinémascope. Documentaire : "Les juments de la nuit, récit d'une création" - 52 minutes - référence : 297
On Purge Bébé – Feu la Mère de Madame
95 min

On Purge Bébé – Feu la Mère de Madame

2011 - Mise en scène Alain Françon
Georges Feydeau avait l’intention de rassembler sous le titre « Du mariage au divorce » les farces conjugales qu’il écrivit après 1908, au moment où lui-même connaissait des difficultés dans son couple, pour finir par divorcer en 1916. Le Théâtre Marigny respecte sa volonté !Monsieur Follavoine cherche à décrocher le marché des pots de chambre incassables à destination de l’armée française. Pour tenter de conclure l’affaire, il invite à dîner Chouilloux, fonctionnaire influant du ministère des armées, son épouse et l’amant de celle-ci. Mais ce jour-là, le fils Follavoine est constipé et ne veut pas prendre sa purge… et rien ne se passe comme prévu.
Les juments de la nuit, récit d’une création
52 min

Les juments de la nuit, récit d’une création

2008 - Réalisation Michel Viotte
Les Juments de la Nuit est le troisième spectacle mis en scène par Bartabas à Versailles, utilisant les talents conjugués de l’Académie Equestre de Versailles, qu’il dirige, et de la troupe de Zingaro. Mais pour la première fois, après Le Chevalier de Saint Georges et Voyage aux Indes Galantes, le thème du spectacle n’est pas lié à la Cour du Roi de France. Dans Les Juments de La Nuit, Bartabas a imaginé un univers décalé dans ce lieu, plus proche de celui des spectacles de Zingaro. Il a cette fois puisé son inspiration dans le cinéma : la version de Macbeth réalisée par Orson Welles, et la transposition de la pièce de Shakespeare dans le Japon des seigneurs de la guerre du Château de l’Araignée, par Akira Kurosawa. Les Juments de la Nuit s’annonce comme une série de poèmes visuels épiques et baroques, mettant en scène les songes de Lady Macbeth, et faisant fusionner deux lieux et deux époques : l’Ecosse du XIème siècle et le Japon du XVIème. Une fusion de couleurs aussi, mêlant chevaux « crème », argentins ou lusitaniens. Une fusion de talents, enfin, réunissant danseurs, écuyers de l’Académie et voltigeurs de Zingaro. Captation : Les juments de la nuit - 65 minutes - référence : 309
Topor 3 – Les Prix de l’Inattendu
102 min

Topor 3 – Les Prix de l’Inattendu

2020 - Mise en scène Jean Michel Ribes, Valérie Ferrere
Troisième édition des « Topor ».Soirée spéciale : on célèbre ici toutes les disciplines du spectacle vivant, et de préférence les plus indisciplinées.Les prix, injustes comme tous les prix, sont remis à des lauréats désignés par un jury composé de personnalités sensibles à l’extravagance, au pas de côté, au monde à l’envers, à l’issue de secours, aux utopies, au chant de baleine devant la lune. Aux personnalités qui ne voient pas la beauté que dans les belles choses. Et la remise des prix a lieu lors d’une soirée de fête, surprises et audaces garanties.La sélection des spectacles concourant à ce prix sera une fois encore faite de façon arbitraire par le jury selon ses goûts, ses envies, et pourquoi pas ses amis. Si tous les prix sont iniques, partiaux ou inéquitables… les Topor le sont encore plus. Honneurs destinés à récompenser les créateurs du spectacle vivant oubliés des chapelles du bon goût et de la morale définitive, les « Topor » saluent les mauvaises herbes de la culture, trop folles pour être taillées à la française : tous les incongrus qui ridiculisent les gens qui savent. Pour Jean-Michel Ribes, il est temps de rendre grâce à « celles et ceux qui sautent dans le vide pour découvrir d’autres planètes. »France 3 Paris Île-de-France soutient et diffuse pour la troisième année consécutive la soirée inattendue des Topor. 
Foresti and co
135 min

Foresti and co

Imaginé pour le Festival Juste pour rire de Nantes 2008 dont Florence Foresti était la Marraine, exporté et adapté au Festival Juste pour rire de Montréal en juillet 2008, ce show inédit, tant sur la forme que sur le contenu arrive, enrichi de surprises et crée l’événement à Paris. Entourée de ses invités et mise en scène par Josée Fortier, Florence Foresti explore les relations “hommes-femmes” et leurs nouvelles règles du jeu à travers des numéros spécialement écrits pour l’occasion : sketches, danses, chansons, parodies, imitations... en solo, duos, ou trios. Lorsque Florence Foresti se voit offrir carte blanche, elle nous en met plein la vue. “On s'amuse comme des gosses et je crois que le public aussi!” Florence Foresti
Stéphane Rousseau brise la glace
101 min

Stéphane Rousseau brise la glace

2015 - Réalisation Medhi Idir
L’humoriste et comédien québécois, Stéphane Rousseau, est de retour sur scène et en tournée en France. Son spectacle « Stéphane Rousseau brise la glace » se veut plus spontané et naturel. Sur le principe du stand up à l’américaine, il est accompagné par deux musiciens-comédiens. À 48 ans, avec des faux airs de « Brad Pitt de la Belle Province », il affiche toujours un physique de trentenaire avenant. Il a pourtant cet âge canonique et joue dans son nouveau spectacle avec l’inquiétude du temps qui passe. Contrairement aux habitudes, c’est un spectacle rôdé qu’il propose. Il nous accueille sur scène, comme à la maison, entouré de ses amis musiciens et nous offre une expérience originale, un spectacle électro-pop-rock-acoustique-humoristique dans un show d’un genre unique.
Cochons d’Inde
80 min

Cochons d’Inde

2010 - Mise en scène Anne Bourgeois
Cette pièce, sorte de «  Boulevard kafkaïen », montre un bourgeois dont les certitudes et l’arrogance, finiront par s’effriter petit à petit face à une situation absurde qui le dépasse. Le thème de la mondialisation, les rapports de force entre les faibles et les forts, sont au centre de  cette histoire. Les indiens imposent leurs règles aux français. Le guichetier impose ses règles au client. Bref, les règles ont changé …
L’amour sur un plateau
118 min

L’amour sur un plateau

2011 - Mise en scène Agnès Boury
Mariés depuis 20 ans, Caroline et Jean-Louis tiennent une auberge dans la Creuse. Mais rien ne va plus dans le couple et ils envisagent de se séparer. Une mystérieuse cliente de l’auberge leur propose alors de tenter le tout pour le tout : pourquoi ne pas faire venir MAP, la célèbre médiatrice des amours perdus ? Elle est connue dans toute la France pour ses émissions télévisées où l’on voit des couples en difficulté s’aimer comme au premier jour ! La télévision va donc débarquer à l’auberge. MAP réussira-t-elle à rapprocher Jean-Louis et Caroline ?
Croisée des chemins, Grand prix des auteurs 2016
77 min

Croisée des chemins, Grand prix des auteurs 2016

2016 - Mise en scène Laurent Serrano
Cette pièce a remporté le concours du Grand Prix du Théâtre en 2016. Deux couples, de générations différentes, se croisent dans un hôtel isolé et insolite pour y régler des comptes. Le fils y retrouve son père absent depuis si longtemps. Entre gravité et légèreté le récit se déploie claire et divertissant.
LARBINS

LARBINS

2019 - Mise en scène ANNE ?
La Dame de chez Maxim
125 min

La Dame de chez Maxim

2019 - Mise en scène Zabou Breitman
Après Le système Ribadier à la Comédie-Française, Zabou Breitman retrouve Georges Feydeau et l’une de ses pièces les plus mythiques, La Dame de Chez Maxim, qu’elle met en scène, au Théâtre de la Porte Saint-Martin. Le Docteur Petypon (Micha Lescot), médecin respectable, a fait la fête jusqu’au petit matin chez Maxim. Son meilleur ami le découvre endormi à midi sous un canapé renversé. De la chambre sort la Môme Crevette (Léa Drucker), une danseuse du Moulin-Rouge. Celle-ci est forcée de se faire passer pour sa femme. Elle se pique au jeu et provoque une cascade de quiproquos, d’imbroglios et de coups de théâtre à un rythme effréné.
Alors on S’aime
106 min

Alors on S’aime

2018 - Mise en scène Anne Bourgeois
Max est à bout. Une fois de plus, alors qu’il rentre du travail épuisé à 22h00, il trouve le frigo vide et Charlotte en train d’essayer de nouveaux talons. Au cours d’une énième engueulade, leur voisin du dessus, Docteur Love, auteur d’une thèse sur la vie à deux, descend pour les supplier de se séparer. Pourra-t-il les aider à mieux se disputer pour enfin s’entendre ?
Le Quatuor – Bouquet final
105 min

Le Quatuor – Bouquet final

2015 - Mise en scène Alain Sachs
C’est bel et bien Le Quatuor qui a inventé Le Quatuor ! En créant sa propre légende, il a tracé une voie nouvelle dans l’humour musical qui, depuis, n’a jamais cessé de faire école. Après 35 ans d’une exceptionnelle carrière, nos quatre mousquetaires ont décidé de remiser queues-de-pies et archets. En quelques mots rapides, le parcours du Quatuor serait : une dizaine de créations originales, des représentations dans les plus beaux théâtres de l’hexagone, des tournées dans le monde entier, des triomphes sur les plus prestigieuses scènes parisiennes, Trois Molières, une Victoire de la Musique et, par-dessus tout, le bonheur d’un public toujours plus fidèle et nombreux à manifester sa jubilation. Ce spectacle d’adieu, véritable bouquet final, inclura les tableaux les plus savoureux, les séquences les plus émouvantes, les trouvailles les plus hilarantes qui ont fait la renommée du Quatuor. Toujours sous la houlette d’Alain Sachs, il s’agira d’un véritable spectacle et non pas d’une simple compilation rétrospective. Le répertoire de trente années de créations sera revisité avec l’ambition de l’interroger et de le réinventer à chaque instant pour en restituer le joyeux fourmillemet.
Le Voyage de Shéhérazade – Cirque d’Hiver Bouglione
72 min

Le Voyage de Shéhérazade – Cirque d’Hiver Bouglione

2014 - Mise en scène Joseph J. Bouglione
Le Cirque d’Hiver Bouglione présente «Le voyage de Shéhérazade», le Grand Cirque des 1 001 nuits.?Pour ce nouveau spectacle, plongez dans la magie de l’Orient avec?son exotisme et ses mystères. Vous y découvrirez beaucoup d’animaux : chameaux, chevaux, fauves et éléphants sous la direction de leurs dresseurs hors pair. Vous apprécierez l’agilité des acrobates et des trapézites sans oublier les incontournables clowns qui font la joie des petits comme des plus grands !?Toutes les grandes disciplines du cirque seront représentées. Laissez-vous envoûter par ces deux heures de fabuleux spectacle de vrai cirque signé le « Cirque d’Hiver Bouglione ».
Le prince de Hombourg
128 min

Le prince de Hombourg

2014 - Mise en scène Giorgio Barberio Corsetti
Toute la pièce est une énigme... ou peut-être un songe... qui commence par un somnambulisme et qui finit par un évanouissement... Ou bien est-ce l’histoire d’une lâcheté et d’un héroïsme ? Est-ce le résultat d’une impulsion inconsciente ou celui d’un véritable choix ? De quoi parle Le Prince de Hombourg ? De comment on peut vivre tout en dormant... ou rêver de la vie... comment Éros se mêle impitoyablement aux décisions conscientes... comment la mort joue avec les glissades et les chutes des hommes... comment on peut entendre sans écouter... en écoutant les voix intérieures plutôt que celles de l’extérieur... comment la guerre est le terrain extrême de toutes les possibilités d’action... par le geste le plus extrême, l’homicide... comment les impulsions nous dominent... et comment la raison nous condamne à mort pour faire taire ces impulsions... L'ordre, l’obéissance aux règles, est-cela la mort ? Qu’est-ce que cette pièce tente de nous dire ? Comment le symbole finit par l’emporter sur le réel... Le symbole, est-ce une couronne de laurier sur la tête des poètes et des héros ? Seul un geste de clémence ou d’appréciation du père peut nous sauver... mais cela vaut seulement une fois que nous aurons accepté de monter sur l’autel, le couteau sous la gorge. Le père dispense-t-il la justice... ? Ou la clémence... ? Ou bien le pardon quand il nous a condamnés à mort pour l’avoir emporté contre la loi ? Au fond, est-ce notre victoire qui a été condamnée ? Et cette victoire, peut-elle être seulement remportée contre les lois du père ? Pour ensuite nous emmener à une condamnation et accepter celle-ci comme la seule possibilité d’affirmation de notre être au monde ? La seule issue de la condamnation, est-elle vraiment notre acceptation, et la consé- quente clémence du père ? La mort, vient-elle vers nous habillée en femme perdant un gant ? Éros dissémine des gants perdus, dévoilant des mains délicates et gracieuses – l’histoire de notre culture... Combien de temps faudra-t-il pour que ces mains deviennent squelette ? Chaque scène est une énigme... le sens se perd dans les élans, dans les fulgurances... le prince est notre héros, l’avatar de nos songes... nous vivons avec lui dans des formes et des paysages durs, de pierre ou de fer... des scènes coupées au sabre... comme dans la charge d’une cavalerie exaltée... des scènes fragmentées, éclatées,LE PRINCE DE HOMBOURG de Heinrich von Kleist mise en scène Giorgio Barberio Corsetti livides... incongrues, l’une après l’autre... chaque scène, un tableau différent... qui répond à un système symbolique tour à tour différent... mais qui, toutes assemblées, créent une grande fresque... comme une chapelle cachée dans une grande cathédrale dépouillée... Sur le chemin du prince, une fosse... les croque-morts au travail... Par le biais de sa mère putative, le prince demande clémence à l’Électeur, son père électif... Au théâtre, est-il possible que, dès que le père prend du pouvoir, les fossoyeurs commencent à creuser ? La Cour d’honneur est une paroi ardue, un plateau sous un abîme... c’est là où le prince affronte la guerre, la peur, l’exaltation, le désir, la mort... c’est là où les personnages tombent et se redressent. On les croit morts, mais ils vivent pourtant pour condamner ou être condamnés, pour donner la grâce ou la recevoir... Mais où est la guerre dans tout cela ? Là, au fond, là où l’élan et le cri surgissent sans calcul, sans raison... c’est ce moment d’exaltation qui nous fait remporter la victoire ou perdre, qui nous perd, dans lequel nous nous perdons... car nous n’avons pas écouté... car nous pensions à autre chose... à l’autre... Images, rêves, fer, chevaux... armes... une paroi gravée de signes picturaux... explosions de couleurs... feu... lances incendiées... visions du jugement dernier... combats... chutes sans fin... corps nus et corps protégés... enveloppes... surfaces en mouvement transpercées par les coups... corps projetés... couleurs vives... explosions de couleurs... fer, pierre... Giorgio Barberio Corsetti, septembre 2013
Kadoc
92 min

Kadoc

2021 - Mise en scène Jean-Michel Ribes
Mosaïque de bizarreries, polyphonie des ego, irrésistible camaïeu des contraires, jalousies en incandescence, l’entreprise rend fou. Mais quel est donc ce petit homme qui ressemble à un singe que l’employé découvre tous les matins à son bureau ? La femme du chef est-elle folle ? Pourquoi veut-on absolument inviter son subalterne à manger un risotto ? Et ce rapport, où en est-on de ce rapport ? Trois couples, dont chacun des maris travaille dans la même entreprise à des postes hiérarchiquement différents, valsent dans cette comédie jusqu’à la faire basculer en un savoureux délire où les lois du monde du travail disparaissent. Cruelle satire du collectif dont l’absurdité jaillit avec délectation.Au Rond-Point, on a pu voir de Rémi De Vos Jusqu’à ce que la mort nous sépare, Sextett, Débrayage, Occident ou récemment Toute ma vie j’ai fait des choses que je savais pas faire. Jean-Michel Ribes dirige le Théâtre du Rond-Point, bateau pirate, depuis 2002. Il a signé Palace et Merci Bernard pour la télé, Batailles avec Topor, Les Nouvelles Brèves de comptoir avec Jean-Marie Gourio, René l’énervé, Théâtre sans animaux, Par-delà les marronniers – revue(s), Sulki et Sulku ont des conversations intelligentes ou Folie. Metteur en scène de Kadoc, il remarque : « Le monde du travail, Rémi De Vos ne le moralise pas, il n’en tire ni leçon ni message, bien mieux, il nous en dévoile son extravagante absurdité. Peu d’auteurs font de même, sans doute terrorisés à l’idée qu’ils risquent de faire rire. »
Le spectre ou la pâleur du ciel
48 min

Le spectre ou la pâleur du ciel

1997 - Mise en scène Karine Saporta
Cette création a pour thème le romantisme, les romantismes. Romantismes littéraires, musicaux, picturaux, chorégraphiques… Rapports à la nature, à l’âme, à l’exaltation des sens, des sentiments… A Dieu… En grande partie inspirée par l’œuvre de Degas et Puvis de Chavanne, et par le souvenir de l’opéra romantique, cette chorégraphie mêle la danse à l’univers de la peinture, créant une toile vivante. Les textes de Lamartine, Hugo sur la nature et l’absence, ceux de Théophile Gautier sur la création des ballets comme Gisèle, accompagnent cette réalisation, qui prend ses racines dans l'oeuvre musicale de Frédéric Chopin.
Ruy Blas
130 min

Ruy Blas

2019 - Mise en scène Yves Beaunesne
Ruy Blas est un drame romantique de Victor Hugo, en cinq actes, et en vers (alexandrins) où des personnages soumis à un destin fatal tentent vainement d’y échapper. L’action se déroule dans l’Espagne de la fin du xviie siècle, sur plusieurs mois. Le héros de ce drame romantique, Ruy Blas, déploie son intelligence et son éloquence, tant pour dénoncer et humilier une oligarchie accapareuse des biens de l’État que pour se montrer digne d’aimer la reine d’Espagne. Mais cette voix du peuple, éprise de justice, éclairée par l’amour, est prisonnière d’une livrée de valet et d’un maître attaché à perdre la réputation de la Reine en lui donnant « son laquais pour amant
Le Cid
112 min
Médée
140 min

Médée

2000 - Mise en scène Jacques Lassalle
Réfugiée à Corinthe avec Jason, pour lequel elle a trahi les siens et à qui elle a donné deux fils, Médée est désormais bannie de la terre grecque. Son époux a accepté l’offre du roi Créon et a épousé sa fille. Dans une rage folle, Médée ne mange plus, ne parle ni à ses enfants ni à ses serviteurs. Craignant sa colère, Créon la condamne à l’exil mais consent à lui laisser un jour de répit pour trouver une terre d’asile. Médée décide de mettre à profit ce délai pour se venger. Elle décide d’assassiner Jason, sa nouvelle femme et le roi Créon, pour ensuite égorger ses enfants.
Numéro complémentaire
120 min

Numéro complémentaire

2006 - Mise en scène Alain Sachs
Les Leblanc : Bernard, dit Nanard et sa femme Nadette, français moyens heureux, ont une fille, 19 ans, fan de Jean-Edouard Bernel, spécialiste des têtes couronnées. 25 millions d'euros, la super-cagnotte du Loto, leur tombe sur la tête! Ils peuvent tout s'offrir... sauf le rêve de leur fille : devenir princesse. La solution : kidnapper Bernel, lui seul pourra transformer leur fille.
Amour et chipolatas
84 min

Amour et chipolatas

2007 - Mise en scène Xavier Letourneur
"Amour et chipolatas", ou comment inviter ses trois premiers amours à un soi-disant barbecue pour mettre à l'épreuve son futur mari. Une comédie pleine de drôlerie et de charme sur les relations amoureuses quand c'est la femme qui mène la danse.
Les deux canards
129 min

Les deux canards

Un bijou de Tristan Bernard, une mécanique endiablée, de l’impertinence et de la dérision. Pour raconter l’arrivisme, les retournements de veste et les petites vanités. Dans cette pièce pleine de fantaisie, Yvan Le Bolloc’h, coureur invétéré et journaliste enchaîné à deux canards, est irrésistible. Bien entouré aussi par une dizaine de comédiens alertes.
Le comique
142 min

Le comique

2009 - Mise en scène Alex Lutz
Un comique célèbre, à la vie débridée, est en panne d’inspiration pour son prochain spectacle qui commence dans un mois. Et pour cause : l’alcool, les boites de nuit et les conquêtes amoureuses masculines l’empêchent de se concentrer sur son écriture. Son entourage panique et décide de le mettre « au vert ». Son assistante, sa sœur, son meilleur ami mais aussi d’autres personnages vont se lancer dans une course contre la montre pour sauver cette carrière qui sent le roussi. PIERRE PALMADE aborde dans cette comédie décomplexée et (très) librement inspirée de sa vie, des thèmes qui lui sont chers : l’âge, la célébrité, la fuite, l’humour, l’amitié, l’homosexualité, la famille. C’est également le prétexte qu’il a trouvé pour jouer avec sa troupe de 7 acteurs aux natures comiques incontournables et avec qui il travaille depuis deux ans.
La Mouette
212 min

La Mouette

2012 - Mise en scène Arthur Nauzyciel
À quoi reconnaît-on un chef-d'œuvre ? Sans doute par le fait qu'il soit joué et rejoué, année après année, parce qu'il excite toujours la curiosité des artistes qui s'en emparent et celle des spectateurs qui viennent le réentendre, ses questionnements apparaissant encore d'actualité. "La Mouette" demeure dans l'Histoire, elle est toujours active et sans doute toujours nécessaire et unique. Elle l'est évidemment pour Arthur Nauzyciel qui a voulu la faire entendre dans la Cour d'honneur du Palais des papes. Cette pièce qui parle, selon les mots du metteur en scène, "d'art, d'amour et du sens de nos existences", écrite à la fin de ce XIXe siècle qui se meurt sans bien imaginer ce que sera le XXe pourtant si proche, est aussi hantée de souvenirs, de mélancolie, de ruines et d'espérance. Foi en l'art, attente d'un amour réciproque, ces sentiments ne résisteront pas à la réalité d'un monde où la mort rôde, celle des mouettes abandonnées au bord des lacs et celle des artistes idéalistes qui, comme Tréplev tentant de rêver un autre théâtre, sont brutalement rejetés. Ce qui pourrait n'être qu'un mélodrame construit autour d'une sarabande d'amours impossibles –puisque personne n'aime celui qui l'aime– devient un bal funèbre et métaphysique, une ­véritable parabole sur la condition de l'homme. Arthur Nauzyciel souhaite donc une nouvelle fois "parler pour ressusciter les morts", persuadé que l'auteur Anton Tchekhov "console les âmes" comme le docteur Tchekhov sauvait les corps souffrants. En retraversant "La Mouette", il y croisera des spectres, ceux de l'écrivain russe, mais aussi Hamlet ou les héros de "L'Orestie", venus témoigner du lien avec le passé, pour construire un théâtre qui se fait au présent, un théâtre de l'impérieuse nécessité.
Le vent souffle dans la Cour d’Honneur
90 min

Le vent souffle dans la Cour d’Honneur

2012 - Réalisation Nicolas Klotz, Elisabeth Perveval
Dans un bar la nuit, à Paris, Jeanne Moreau et Juliette Binoche dialoguent ensemble pendant qu’un des très grands photographes actuels, Michael Ackerman, fait leurs portraits. Entre celle qui fut là dès la première édition du Festival, en 1947, dans "Richard II", et celle qui a découvert la scène avignonnaise en 2011 dans "Mademoiselle Julie", naît une parole inédite. Les deux actrices échangent à propos de leurs expériences d'Avignon, de leurs perceptions de la ville, de leurs approches d'une scène si particulière où jouent sans cesse les éléments agités par le mistral, témoignant ainsi d'un Festival qu'elles jugent fondamentalement émancipateur.
Le triomphe de l’amour
128 min

Le triomphe de l’amour

2013 - Mise en scène Galin Stoev
Orfèvre du théâtre, Galin Stoev semble apprécier autant les créations inspirées par des textes contemporains (Ivan Viripaev, Hanoch Levin) que la fine approche d’oeuvres classiques. Pour sa première venue à Vidy, il propose une vision très personnelle du Triomphe de l’amour de Marivaux. Dans cette comédie, l’on voit une princesse nommée Léonide se déguiser en homme et s’introduire dans une maison avec l’idée de se faire aimer de tous ses occupants. Aimer ? Pas au sens d’apprécier, évidemment ! Non : il s’agit véritablement que le vieux philosophe, sa soeur et un jeune homme qui vivent là éprouvent pour elle de l’amour. Suite à diverses péripéties, intrigues et rebondissements, Arlequin venant aussi mêler son grain de sel à l’affaire, elle parvient à ses fins : d’où le triomphe… Une fois de plus, Marivaux joue sur les quiproquos et les travestissements, rendant ainsi plus troubles les limites entre les deux sexes, comme si décidément il ne fallait pas se fier aux apparences. Galin Stoev rajoute un niveau à ce jeu : la distribution est entièrement masculine.
Fantasmes de demoiselles
87 min

Fantasmes de demoiselles

2012 - Mise en scène Pierre Jacquemont
Music-Hall imaginaire pour quatuor de comédiens chanteurs et deux poly-instrumentistes Ce Music-Hall onirique raconte le voyage nocturne de deux secrétaires en quête de l'âme soeur et de l'homme idéal... Au petit matin, il faut se rendre à l'évidence : le Prince charmant n'existe pas. C'est à l'amour de rendre le voisin de bureau prince et charmant ! Avec sa verve poétique et sa fantaisie jubilatoire, René de Obaldia est lui-même un fantasme, un ovni littéraire, un « académicien encore vert » , inventeur de « la littérature du plus léger que l'air » .
Madame sans gène
113 min

Madame sans gène

2011 - Mise en scène Alain Sachs
Catherine Hubscher est blanchisseuse et fiancée au sergent Lefèbvre. Elle est réputée pour son franc-parler, ce qui lui a valu le surnom de « Madame Sans-Gêne ». Lors de la prise des Tuileries, elle sauve la vie à un jeune noble autrichien, le comte de Neipperg. Les années passent, Lefèbvre devient Maréchal d'Empire, et duc de Dantzig, Catherine, sa femme, devient duchesse. Napoléon, excédé par son manque de distinction dans le grand monde, veut que Lefèbvre divorce. Lefèbvre refuse et la duchesse est convoquée devant l'Empereur. Auparavant, lors d'une réception chez elle, elle remet à leur place les sœurs de Bonaparte en se vantant d'être originaire du bas monde... comme elles l'étaient aussi.
Uzes Quintet
26 min

Uzes Quintet

2004 - Réalisation Catherine Maximoff
Un film de danse qui se fonde sur le travail chorégraphique de cinq compagnies invitées par le Festival De La Nouvelle Danse d'Uzès.
Princesses le reve d’Odile
52 min

Princesses le reve d’Odile

2009 - Réalisation Hervé Portanguen
Dans une grande féerie, 20 chorégraphes-danseurs contemporains renommés investissent différents espaces d’un bâtiment flambant neuf, le Théâtre-Auditorium de Poitiers, pour en célébrer la création et son ouverture au public. De son solo respectif, chacun éprouve les lieux, dialogue avec, pour mieux en réinventer le sien et un autre, celui du spectacle. Les formes et les volumes de l’édifice dessinés par l’architecte expriment ici ses recherches autour d’un lien nouveau entre la structure de l’espace et le mouvement du corps. Par son univers et son style propre, chaque danseur donne à percevoir son rapport à l’espace environnant. Les perceptions varient de l’un à l’autre, s’additionnent et révèlent l’espace architectural. Les murs peuvent danser.
21ème Festival International du Cirque de Massy
120 min

21ème Festival International du Cirque de Massy

2013 - Réalisation Roberto Maria Grassi
De jeunes talents, de grands numéros inédits en France, des stars internationales et la présence de nombreux animaux-artistes, sont les atouts de ce show novateur et de cette compétition tournée vers la création.
Léonie est en avance – Mais n’te promène pas toute nue
118 min

Léonie est en avance – Mais n’te promène pas toute nue

2011 - Mise en scène Alain Françon
Georges Feydeau avait l’intention de rassembler sous le titre "Du mariage au divorce" les farces conjugales qu’il écrivit après 1908, au moment où lui-même connaissait des difficultés dans son couple, pour finir par divorcer en 1916. Le Théâtre Marigny respecte sa volonté ! Résumé : Au coeur de l'été et de ses vacances au bord de la mer, Léonie est sur le point d'accoucher avec un mois d'avance. Les mauvaises langues se délient, les règlements de compte et les mesquineries entre beaux-parents et gendre vont bon train, l'arrivée d'une sage-femme tyrannique finit de chambouler toute hiérarchie dans la maison, et ce qui devait être un moment de joie va tourner à la catastrophe...
La tragédie du roi richard II
167 min

La tragédie du roi richard II

2010 - Mise en scène Jean-Baptiste Sastre
La pièce s’ouvre sur un royaume perdu. Un monde fini dont il ne reste que des traces, des empreintes. Pièce historique, dit-on. Prophétique plutôt, au sens où les prophètes s’attachent à dénoncer la catastrophe présente par une projection historique imaginaire. Le jardin harmonieux et protecteur n’est plus. De ce monde ancien et parfait, équilibré et vertueux, il ne reste que le roi comme l’image mélancolique d’une souveraineté dont on découvre que l’on est exclu. Lentement le roi lui-même exprimera sa propre impuissance. Tentera en vain de faire réapparaître le paradis comme de dire la Loi. Un autre voudra restaurer la puissance rêvée, l’harmonie, mais son rêve deviendra cauchemar.
Cadiot/Lagarde : les Jeux de mots
40 min

Cadiot/Lagarde : les Jeux de mots

2010 - Réalisation Manuelle Blanc
Olivier Cadiot, artiste associé du festival d’Avignon 2010, est un écrivain dont les formes littéraires, entre poésie et roman d’avant-garde, échappent à toute catégorie. Le metteur en scène Ludovic Lagarde a pourtant décelé dans cette écriture insolite le potentiel d’une adaptation théâtrale. Au fil de séquences de vie, d’entretiens et d’extraits de répétitions de la pièce « Un mage en été », ce film met à jour le processus de transposition d’une œuvre littéraire en objet théâtral. Captation pour mémoire : « Un mage en été » – 90 minutes – Festival d’Avignon 2010
The Canapé
88 min

The Canapé

2022 - Mise en scène Jean-Luc Moreau
Dans une grande surface de vente de canapés vont successivement arriver : Fabien Romains, metteur en scène venant choisir le canapé qui sera l’élément principal du décor de sa prochaine pièce.Priscilla Gabor (son ex-femme), actrice autoritaire en perte de vitesse qui joue dans la pièce et qui tient à décider elle-même du canapé sur lequel elle posera ses fesses.Édouard Le Tellier, auteur et producteur de la pièce, actuel mari de l’actrice, qui se tape du choix du canapé, mais qui fait semblant de s’y intéresser quand même.Enfin Olivier Leblanc, le vendeur, qui rêve depuis toujours d’une carrière de comédien.Il va sans dire que ce magasin est sur le point de devenir le théâtre inattendu des situations les plus drôles et loufoques que ce cocktail de personnalités peut créer.
Les Fâcheux
90 min

Les Fâcheux

2022 - Mise en scène Julia de Gasquet
Première comédie-ballet de l’Histoire, Les Fâcheux est une pièce de Molière représentée au château de Vaux devant le roi, le 17 août 1661 et commandée par le surintendant Fouquet. Elle fut « conçue, faite, apprise et représentée en quinze jours ». Beauchamp se chargea des ballets, Lebrun peignit les décors, Pellisson composa le prologue. Les Fâcheux est un amusant spécimen de comédie à tiroir, absolument dénuée de toute intrigue.Eraste attend sa maîtresse Orphise à un rendez-vous qu’elle lui a donné et que vient empêcher toute une série d’importuns ou de « fâcheux » : un valet trop complaisant, un marquis ridicule, un danseur, un duelliste, un joueur de piquet, deux précieuses qui désirent consulter Eraste sur un point de métaphysique, un chasseur qui fait un long récit de chasse à courre, un pédant qui ne rêve qu’anagrammes et acrostiches, un inventeur enthousiaste et besogneux, etc.
L’école des femmes
150 min

L’école des femmes

2001 - Mise en scène Didier Bezace
Didier Bezace s'attaque pour la première fois à Molière. Son "Ecole des Femmes" est une réussite. Pierre Arditi donne tout l'éclat de son talent à un Arnolphe pathétique et Agnès Sourdillon est parfaite dans le rôle d'Agnès. En 1662, le 29 janvier, Molière se marie avec Armande Béjart ; le 26 décembre, il présente L'Ecole des femmes qui sera la seule création de cette année ! C'est le plus grand succès que connaîtra Molière. Le succès de la pièce et le déchaînement des esprits à son encontre est bien le signe que ce n'est pas une réussite ordinaire, mais l'avènement d'une forme nouvelle en rupture avec l'ordre ancien. De la farce à la comédie, de L'Ecole des maris à L'Ecole des femmes.
Didier Bénureau – Best of (la Cigale)
116 min

Didier Bénureau – Best of (la Cigale)

2012 - Mise en scène Dominique Champetier
C'est porté par la ferveur d'un public en chaleur hurlant comme des veaux à la fin de mon dernier spectacle, les titres de mes anciens sketches, que j'ai décidé de refaire cet ultime best-of. Reprenant le meilleur de mes sketches et toutes mes chansons idiotes accompagnées par un groupe de cochons musiciens ! " Les cochons dans l'espace". Du cochon sauvage et joueur de rock ! Véritable cadeau pour ce public en chaleur ! Comme moi d'ailleurs, déjà tout excité... !
Au cœur des festivals
90 min

Au cœur des festivals

2009 - Réalisation Richard Valverde
Ce magazine propose aux téléspectateurs un éventail de l'actualité artistique mêlé à de nombreuses découvertes, au coeur des festivals de l'été. Emission 1 - Paris, diffusée le vendredi 3 juillet 2009. Invités : Maxime Le Forestier, Ridan, Michel Vuillermoz, Patrick Fiori, Gwenola Maheux, Richard Perret, Arthur Ribo.Emission 2 - Avignon, diffusée le vendredi 10 juillet 2009. Invités : Alice Belaïdi, Béatrice Uria-Monzon, Danièle Lebrun, Ibrahim Maalouf, Pascal Légitimus, Yannick Jaulin.Emission 3 - Avignon, diffusée le vendredi 17 juillet 2009 encadrant la diffusion de la pièce "Angelo, Tyran de Padoue" depuis le Festival d'Avignon.Emission 4 - Avignon diffusée le vendredi 24 juillet 2009. Invités : Claire Désert, Michel Leeb, Anthéa Sogno, les Stones, Tom Novembre, Aurélien Daudet, Clémentine Célarié.
Stéphane Guillon – Liberté très surveillée
95 min

Stéphane Guillon – Liberté très surveillée

2011 - Mise en scène Muriel Cousin
Rictus narquois vissé sur un visage anguleux et dégaine de dandy, Stéphane Guillon déboule sur scène comme un diable sort de sa boîte, ou comme un torero dans l'arène. A moins qu'il ne soit lui-même le taureau ! Bref, il fonce sur tout ce qui choque, harponne la "bien-pensance", embroche les idées reçues, pose ses banderilles là où on ne les attend pas.
Jonathan Lambert – Perruques
93 min

Jonathan Lambert – Perruques

2013 - Mise en scène Jonathan Lambert
Pour son nouveau spectacle, Jonathan Lambert revient sur scène tel qu’il est : non pas lui-même mais plusieurs. Après quatre saisons chez Ruquier, il nous propose de revisiter les personnages hors-norme qu’il a créés. Homme, femme, vieux, jeune, bon ou mauvais, les voilà pour la première fois sortis de la télé. Et puisqu’il fallait lui donner un titre, cette performance s’appelle tout simplement Perruques.
L’étudiante et Monsieur Henri
95 min

L’étudiante et Monsieur Henri

2013 - Mise en scène José Paul
A 78 ans, monsieur Henri vit seul dans son appartement parisien, ce qui commence à inquiéter son fils, Paul. Si le septuagénaire, particulièrement bougon, refuse catégoriquement tout placement en maison de retraite, il finit par accepter de louer une chambre de son appartement à une étudiante. Constance, 21 ans, emménage chez lui. C’est une jolie demoiselle pleine de fraicheur et d’enthousiasme, aux faibles moyens, en plein échec dans ses études, qui cherche encore sa voie. Loin de tomber sous le charme, Henri va se servir de Constance pour créer un véritable chaos familial… Dont il était loin d’avoir prévu toutes les conséquences ! Une comédie décapante sur les ingérences familiales, les hérédités lourdes à assumer, et la difficulté de concilier les grands rêves d’une vie avec les petits arrangements quotidiens que chacun fait avec sa conscience... Que ce soit à 20 ans, 40 ans ou presque 80 !
Virginie Hocq – Sur un fil
98 min

Virginie Hocq – Sur un fil

2016 - Mise en scène Isabelle Nanty
Virginie Hocq, toujours aussi pétillante et surprenante, nous entraîne dans son univers décalé. L'humoriste belge y évoque la croisée des chemins à sa manière. Elle se retrouve plus que jamais " sur le fil " de la vie et des choix qu'elle aurait pu faire : et si elle avait décidé d'être hôtesse de l'air, aurait-elle été comme Claire, touchante hôtesse qui noie sa solitude dans le champagne ?