13 résultats pour Camille de La Guillonni��re
Camille Chamoux – L’esprit de Contradiction
Après le grand succès de "Née sous Giscard" que nous avons filmé en 2015, retrouvez Camille Chamoux dans son nouveau seul en scène : "L'esprit de contradiction". Elle s'associe pour l'occasion à Camille Cottin pour la mise en scène.
Les agents immobiliers. Les directrices de crèche. Les sages tibétains. Les sages-femmes. Les serveuses mannequins. Et même votre conjoint. Ne cédez pas à leurs discours. Cultivez plutôt avec moi ce qui garantira pour toujours votre indépendance : l'esprit de contradiction. Car comme je le répète sans cesse à mon fils : "Toute morale est suspecte. Sauf celle de ta mère".
Grand Concert, Urgence Tchétchénie
Soirée présentée par Karima Charni et Guillaume Mélanie. Avec la marraine Camille Cottin et parrain Vincent Dedienne
Seront également présents les Artistes : Camille Cottin, Vincent Dedienne, Vincent Delerm, Julie Zenatti, Christophe Willem, Elisa Tovati, Catherine et Liliane, Patxi Garat, Albin de la Simone, Rose, Maud Le Guénédal, Alex Beaupain, Camille Chamoux, Philippe Besson, Vanessa David, Benjamin Siksou et beaucoup d'autres...
Toutes les recettes seront reversées au Mouvement URGENCE TCHÉTCHÉNIE qui vient en aide aux homosexuels tchétchènes persécutés dans leur pays, en payant billets d'avion, de train, vêtements, nourriture, hébergements...
URGENCE TCHÉTCHÉNIE est un mouvement citoyen fondé par Guillaume Mélanie, et composé d'artistes : Benjamin Gauthier, Patxi Garat, Cédric Moreau, Vincent Bayol, Benoit Crou, Camille Cottin, Vincent Dedienne.
Camille Chamoux – Née sous Giscard
Camille descend de Françoise et Jean-Pierre, militants UDF. Elle est née sous Giscard. Comment devenir artiste quand on a des bases molles ?
Valery Giscard d'Estaing descend du roi Louis XV et de Catherine Éléonore Bénard, l'une des maîtresses royales, par leur fille adultérine Adélaïde de Saint-Germain.
Karamazov
Telle une enquête grandiose, le roman de Dostoïevski explore les tourments et les contradictions qui conduisent l'un des fils Karamazov au parricide de Fiodor. L'intempérant Mitia est revenu pour exiger l'héritage maternel indûment conservé par le père. Ivan, aussi instruit qu'intransigeant, nourrit un mépris insondable pour cet homme dépravé. La perversité de Smerdiakov, fils illégitime, pèse comme une menace sur la maison. Seul le jeune Aliocha, dévoué et pieux, semble déterminé à écouter chacun, à comprendre et aimer. En contrepoint des rancoeurs qui les occupent, une tragédie se joue dans la famille d'un homme blessé, offensé puis humilié sous les yeux de son fils Ilioucha qui ne s'en remettra pas. C'est le point de vue que Jean Bellorini et sa troupe choisissent pour déployer la symphonie de Karamozov : une datcha de verre abrite une famille pauvre, simple et honnête qui raconte l'histoire d'Aliocha et ses frères. Porteurs d'autant de sens, la musique, le silence et la parole se relaient pour se poser, amplifier et transmettre les questions essentielles de l'oeuvre du romancier russe : la possibilité d'une justice dans un monde sans Dieu, la possibilité d'une valeur accordée à l'amour et à la charité.
L’Apocalypse Arabe
Conçu sur le vif en 1975, le recueil L’Apocalypse arabe de la peintre et poétesse Etel Adnan offre une représentation saisissante de la guerre civile au Liban. Le soleil, motif central d’une suite de variations hallucinées, allégorise le rayonnement des cultures du monde arabe mais aussi le cataclysme qui a fondu sur elles : une tragédie sans fin, à la portée planétaire. Cette œuvre à nulle autre pareille, virulente dénonciation des crimes qu’engendre l’intolérance, a profondément nourri et inspiré le compositeur d’origine israélo-palestinienne établi à Berlin Samir Odeh-Tamimi et le metteur en scène franco-libanais Pierre Audi. Ensemble, ils ont voulu donner à ces chants entrecoupés de dessins mystérieux la forme d’un théâtre musical qui puisse en souligner l’actualité en même temps que l’universalité. Prophétique en son temps, L’Apocalypse arabe demeure une anticipation visionnaire des épreuves que traverse le Liban aujourd’hui.
Tombouctou déjà-vu
Une communauté de sept interprètes met à l’épreuve son unité et ses liens. Prise au piège d’une narration qui défile en boucle, elle fait vaciller chaque situation, sachant que la répétition n’interdit ni le déplacement ni la transformation.
Sur le plateau, des cartes à tirer : les stratégies obliques du musicien-producteur Brian Eno et du peintre Peter Schmidt, consignes à exécuter, à transgresser, à empiler. Leur accumulation crée un terreau sur lequel le groupe joue et trébuche, curieux d’expé- rimenter des états, des émotions, des intentions. Enfants farceurs parfois pervers, per- sonnages romantiques qui basculent dans la mélancolie... Tout se fabrique sous nos yeux, entre extrême précision et fragilité, portées par des boucles sonores enregistrées et réinventées par les danseurs.
Dans ce processus invariablement circulaire surgissent des brèches, comme des poches de liberté que chacun investit pour échapper au destin, au sens commun. Car à travers cette tentative d’affranchissement dans la répétition, c’est de création artistique qu’il s’agit, à l’image de Tombouctou, nom connu de tous, mais totalement fantasmé, interprété et sublimé.
Emmanuelle Vo-Dinh est une chorégraphe des phénomènes. Sociaux, physiologiques, psychologiques ou mécaniques : elle s’empare de faits précis, les observe, les com- prend, puis, les transforme en matériaux chorégraphiques et plastiques.
Topors 1- Les Prix de l’Inattendu
« VIVRE EN MARGE POUR NE PAS MOURIR AU MILIEU. » ROLAND TOPOR Dans un décor créé par Sophie Perez, la cérémonie orchestrée par Jean-Michel Ribes se déroulera en musique et avec une succession d’interventions aussi inattendues, burlesques et insolites que les œuvres des lauréats récompensés. La remise des trophées sera à elle seule une performance savoureuse. « Le Théâtre du Rond-Point crée un prix destiné à récompenser les créateurs du spectacle vivant oubliés des chapelles du bon goût et de la morale définitive, à saluer les mauvaises herbes de la culture trop folles pour être taillées à la française, les incongrus qui ridiculisent les gens qui savent. Bref tous ceux qui sautent dans le vide pour découvrir d’autres planètes. Ces prix qui célèbreront toutes les disciplines du spectacle vivant seront remis à des lauréats désignés par un jury composé de personnalités sensibles à l’extravagance, au pas de côté, au monde à l’envers, au rire de résistance, à l’issue de secours, aux utopies, à la joie d’être soi, au chant de baleine devant la lune, à la musique de l’insolence, bref des personnalités qui ne voient pas la beauté que dans les belles choses. La sélection des spectacles concourant à ce prix sera faite de façon arbitraire par le jury selon ses goûts, ses envies, et pourquoi pas ses amis. Tous les prix sont injustes, les Topor le seront encore plus. » Jean-Michel Ribes
Ici-Bas, les mélodies de Gabriel Fauré
C’est une belle aventure avant même de commencer. Des musiciens se rencontrent.
Ils interprètent des mélodies de Gabriel Fauré.
Ils les jouent sobrement, les chantent simplement.
Débarrassées de leur esthétique lyrique, ces mélodies révèlent leur beauté limpide et retrouvent le naturel des chansons qu’elles sont.
Les musiciens rêvent d’interprètes pour les chanter et concoctent leur répertoire idéal.
Ainsi est né le désir de la création Ici-bas.
Donner à entendre sous un jour nouveau les mélodies de Gabriel Fauré
tout en restant fidèle à l’esprit intemporel du compositeur et à son univers musical.
Écouter ces mélodies, c’est aussi faire résonner la poésie de Paul Verlaine dont Gabriel Fauré disait qu’elle était « exquise à mettre en musique », celle de Théophile Gauthier, Sully Prudhomme,Armand Silvestre, Charles Van Lerberghe, Romain Bussine et d’autres encore...
Au cœur de ces textes et de cette musique, nous sommes suspendus, en apesanteur dans un monde lointain fait d’aubes naissantes, de crépuscules orangés, de baisers rêvés et d’amours incertains...
13 à table
13 à table, c’est l’histoire d’un réveillon de Noël qui tourne au cauchemar quand le maître de maison, hystériquement superstitieux, s’aperçoit qu’ils vont être 13 à table !
Un classique du boulevard revisité et mis en scène par Pierre Palmade magistralement interprété par Jean Leduc dont le génie comique, l’énergie, les manières et la voix font de lui un digne héritier des grands noms de ce genre théâtral. Les autres acteurs qui l’entourent également issus de l’atelier de Pierre Palmade assurent à la pièce une qualité et une sincérité de jeu impressionnantes.
La candidate
La candidate" est la suite de "Panique au Ministère"! Amanda Lear, reprend du service. Et cette fois, c'est dans la course à l'Élysée qu'elle nous embarque ! En effet, Cécile Bouquigny (Amanda Lear) a pris du grade depuis le premier opus : elle est actuellement Ministre de la Jeunesse et des Sports ! Sur un coup de tête, (et à trois mois de la fin de ses fonctions !) elle décide de se présenter à l'Élection Présidentielle... En faisant valser un équilibre déjà précaire, elle va une fois encore semer la Panique au Ministère...
Lady Oscar
Quand un samedi matin, en plein jet lag, son comptable vient la réveiller pour lui demander d’épouser sa fille, le week-end commence mal, très mal…
Les évènements vont s’enchaîner à toute allure dans ce classique de la comédie revisité sur mesure pour Amanda Lear !
Ruy Blas
Ruy Blas est un drame romantique de Victor Hugo, en cinq actes, et en vers (alexandrins) où des personnages soumis à un destin fatal tentent vainement d’y échapper. L’action se déroule dans l’Espagne de la fin du xviie siècle, sur plusieurs mois. Le héros de ce drame romantique, Ruy Blas, déploie son intelligence et son éloquence, tant pour dénoncer et humilier une oligarchie accapareuse des biens de l’État que pour se montrer digne d’aimer la reine d’Espagne. Mais cette voix du peuple, éprise de justice, éclairée par l’amour, est prisonnière d’une livrée de valet et d’un maître attaché à perdre la réputation de la Reine en lui donnant « son laquais pour amant
L’annonce faite à Marie
Au départ de L’Annonce faite à Marie, il y a comme un drame domestique
autour de la rivalité amoureuse de deux soeurs. Mais Violaine, l’aînée,
frappée de déchéance après un baiser donné à un lépreux, se retire du
monde pour mieux s’en rapprocher par des voies insoupçonnées et prêter
assistance à sa soeur. Claudel a l’intuition d’un « opéra de paroles »
et la réalité d’un « drame de la possession d’une âme par le surnaturel
». Offrir cette pièce au théâtre, aujourd’hui, nécessite un balancement
quasi imperceptible entre la parole et l’histoire, entre l’histoire et
le sens, entre le sens et la musique. Voilà pourquoi j’ai demandé au
compositeur Camille Rocailleux de créer, autour de la pièce, une
partition pour voix, les comédiens, et instruments, deux violoncelles et
un clavier. Pour travailler la confrontation entre une poésie brute et
terrienne et la présence d’un lyrisme marqué par la passion charnelle et
mystique.