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Au pays des Totems
51 min

Au pays des Totems

1999 - Réalisation Michel Viotte
Nos civilisations ont souvent véhiculé les idées les plus fausses sur les indiens d'Amérique, et ce dès l'origine, lorsque Christophe Colomb les baptisa "indiens", injustement, croyant débarquer aux Indes. Ainsi, au cinéma ou dans les diverses iconographies réalisées sur le thème, l'un des clichés les plus communément répandus était la représentation d'un Totem au milieu du village indien. Pourtant, totems et autres oeuvres monumentales de sculpture aborigène se rencontraient exclusivement dans les territoires de l'extrême ouest du continent nord-américain, constituant aujourd'hui la Colombie Britannique (appartenant au Canada) et la pointe sud de l'Alaska. Le film propose de découvrir les réalisations artistiques des tribus indiennes de ces régions. Il explique le formidable "renouveau" culturel actuel à travers la personnalité de différents artistes de renom tels que Robert Davidson ou Joe David. Ils nous présentent leur travail, nous expliquent le sens profond de celui-ci au sein des communautés indiennes et évoquent de quelle manière les grandes figures symboliques représentées sur les oeuvres expriment leur spiritualité et témoignent de leur relation avec leur environnement naturel. Le film montre enfin de quelle façon les indiens ont réappris à gérer leur héritage culturel et social, et tentent aujourd'hui de trouver un équilibre entre tradition et modernité.
Fantasmes de demoiselles
87 min

Fantasmes de demoiselles

2012 - Mise en scène Pierre Jacquemont
Music-Hall imaginaire pour quatuor de comédiens chanteurs et deux poly-instrumentistes Ce Music-Hall onirique raconte le voyage nocturne de deux secrétaires en quête de l'âme soeur et de l'homme idéal... Au petit matin, il faut se rendre à l'évidence : le Prince charmant n'existe pas. C'est à l'amour de rendre le voisin de bureau prince et charmant ! Avec sa verve poétique et sa fantaisie jubilatoire, René de Obaldia est lui-même un fantasme, un ovni littéraire, un « académicien encore vert » , inventeur de « la littérature du plus léger que l'air » .
Promenade obligatoire
66 min

Promenade obligatoire

2014 - Mise en scène Anne Nguyen
Influencée par un cursus scientifique, l’écriture chorégraphique d’Anne Nguyen se situe à la croisée du hip-hop, des sciences et de la danse contemporaine. Elle met en lumière les performances techniques de la danse hip-hop tout en déstructurant la gestuelle, créant ainsi un vocabulaire sobre et fluide. En imposant des contraintes géométriques, elle invente une nouvelle mise en espace de la danse. PROMENADE OBLIGATOIRE est une traversée ininterrompue pour huit poppeurs, une marche dans le sens unique du temps, qui porte une réflexion sur l’« être ensemble » dans une société toujours en mouvement. En lutte contre le déterminisme et leur propre enfermement, les danseurs avancent inéluctablement dans des couloirs lumineux, comme une matière mouvante, créant une incroyable frise chronologique vivante… Surprenant ! Anne Nguyen est une chorégraphe à forte personnalité qui compte aujourd’hui dans le paysage chorégraphique hip-hop.
Un soir, une ville
100 min

Un soir, une ville

2012 - Mise en scène Didier Bezace
Il fait froid, un père enlève sa veste et la pose sur les épaules de son fils. Une vieille dame sans mémoire cherche obstinément à son doigt la bague qu’elle n’a plus. Deux hommes s’étreignent dans la nuit pour conjurer leur solitude et signer l’aveu d’une possible tendresse. Autant de gestes simples, intimes ou anodins qui, dans le théâtre de Daniel Keene, deviennent des actes symboliques d’une grande force dramatique. Des gestes qui créent des liens quand la vie les empêche, qui relient fortement les êtres entre eux malgré la distance qui les sépare. Ils fondent avec les mots qui les entourent et les produisent, le réel hommage poétique d’un grand auteur contemporain à la profonde humanité de notre condition, si dure et misérable soit-elle. Les trois courtes pièces présentées dans un montage intitulé Un soir, une ville… ont en commun de se situer dans des lieux citadins où se croisent tant d’inconnus. Ce sont des ports où ils accostent provisoirement avant d’aller plus loin, des endroits de partance qui mènent ailleurs, les étapes d’un parcours de transition, on y passe et on s’éloigne sans se retourner. C’est l’imaginaire de l’auteur qui prolonge la brièveté de cette sensation momentanée ; il la transforme en une connaissance généreuse de la vie qu’il nous est donné de partager grâce au théâtre, à sa force antique d’exploration, grâce à sa capacité, jamais démentie, de mettre l’universel au creux de chacun de nous.
Christophe Alévêque est super rebelle ! Enfin ce qu’il en reste
100 min

Christophe Alévêque est super rebelle ! Enfin ce qu’il en reste

2010 - Mise en scène PHILIPPE SOHIER
Christophe Alévêque plante ses banderilles dans l’échine du système. C’est sa façon à lui d’appuyer là où ça fait mal, histoire de percer les furoncles de cette si charmante société. Il aime pointer du doigt ce qui cloche dans ce monde sans pour autant verser dans le sérieux. Loin de se prendre pour un justicier masqué (il est incapable de respirer sous un masque), il endosse un déguisement de Super Rebelle, il balance quelques pincées de poil à gratter avant de s’écrouler tel un dandy blasé dans l’absurdité de nos vies. Là, plutôt que de s’endormir, il chante pour oublier, pour harmoniser sa colère. Il a peur de la nature humaine, des enfants qui grandissent mal, du sexe qui ne s’assume plus... Tout lui est bon pour moquer nos travers, tel un petit diable qui ricane devant l’angélisme ambiant. Et puis il y a l’actualité décidément généreuse avec les humoristes. Au lieu de s’assoupir devant son poste de télévision, le gaillard s’ingénie à décrypter le zapping permanent et le jargon médiatique servis quotidiennement. Son ironie fait mouche, preuve qu’on peut rire les yeux grands ouverts. Christophe Alévêque plante ses banderilles dans l’échine du système. 
Le président, sa femme et moi
100 min

Le président, sa femme et moi

2011 - Mise en scène Bernard Uzan
Le Président de la République Thomas Barowski a décidé d'utiliser un sosie afin de pouvoir être présent sur tous les fronts. Antoine Girard, un vendeur de canapés, a été choisi par les services secrets comme le Français ayant le morphotype le plus proche du Président et est réquisitionné pour raison d'Etat... Le colonel Tanguy et sa charmante adjointe Avril, ont été chargés de cornaquer Antoine dans ses missions mais Isabelle Martini Barowski, la sublime épouse du chef de l'état, croise la route du sosie... Embrouilles et fous rires à l'Elysée.
Durassong
63 min

Durassong

2013 - Réalisation Jérémie Cuvillier
Il s’agit d’un film sur Marguerite Duras au détour de l’Inde et de son « cycle indien ». Le spectacle d'Eric Vigner, conçu à l'occasion du Festival Bonjour India, voyage à travers ce «cycle indien», créant une expérience théâtrale inédite à partir de deux œuvres Le Vice-consul et India Song. Ce sera la première fois à la veille de fêter le centenaire de sa naissance le 4 avril 1914, que l’Inde rêvée de l’auteur d’Hiroshima mon amour rencontrera la réalité de l’Inde par le corps des acteurs indiens.
Open bed
109 min

Open bed

2008 - Mise en scène Charlotte de Turckheim
Filant le parfait amour, Alice et Julien respirent le bonheur. Mais ce jeune couple découvre les aléas de l’amitié, du mensonge, de l’adultère mais aussi de l'homosexualité. Alors qu'ils envisagent de s’installer ensemble, les tracasseries s'accumulent dans leur entourage. Le meilleur ami de Julien, Nicolas, sort avec la meilleure amie d’Alice, Mélanie. Mais leur couple est au plus bas. Julien entreprend de se mêler des amours d'un autre ami au désespoir. Il lui présente sa collègue Delphine, une jeune femme charmante mais un peu fofolle. La mauvaise foi s'invite alors entre tous les protagonistes.
La Madâ’a
26 min

La Madâ’a

2006 - Mise en scène Héla Fattoumi, Eric Lamoureux
Pour « La Madâ'a », Hela fattoumi et Eric Lamoureux se sont inspirés de la poésie arabe d’Adonis à la croisée de l’Orient et de l’Occident. Le film est une récréation cinématographique, une fiction chorégraphique en décors naturels issue d’une réécriture de « La Madâ’a ». En créant une nouvelle trame narrative et un nouvel espace dramaturgique, le film va permettre d’aller puiser l’émotion et l’énergie des corps au plus près de leur singularité et ainsi donner à voir toute la complexité des liens qu’ils entretiennent entre eux et avec l’espace qui les entoure. De plus la coloration particulière de la pièce qui donne à ressentir par touche, la lumière changeante et singulière des villes méditerranéennes va fortement imprégner l’univers du film.
San Francisco 1906, le jour où la terre trembla
48 min

San Francisco 1906, le jour où la terre trembla

2000 - Réalisation Dominique Thiel
Le 18 avril 1906 survient à San Francisco la plus grande catastrophe que l'Amérique ait connue : un séisme de magnitude 8,25 créant une faille de 420 kilomètres de long suivi d’un gigantesque incendie, qui durera plus de trois jours. D'un seul coup, la Californie du XIXème siècle bascule dans l'histoire, et l'Etat qui renaîtra de ses cendres ne sera plus jamais le même. A partir de témoignages et de documents extraordinaires, ce documentaire s'attache à relater les circonstances de ces journées historiques .
Le spectre ou la pâleur du ciel
48 min

Le spectre ou la pâleur du ciel

1997 - Mise en scène Karine Saporta
Cette création a pour thème le romantisme, les romantismes. Romantismes littéraires, musicaux, picturaux, chorégraphiques… Rapports à la nature, à l’âme, à l’exaltation des sens, des sentiments… A Dieu… En grande partie inspirée par l’œuvre de Degas et Puvis de Chavanne, et par le souvenir de l’opéra romantique, cette chorégraphie mêle la danse à l’univers de la peinture, créant une toile vivante. Les textes de Lamartine, Hugo sur la nature et l’absence, ceux de Théophile Gautier sur la création des ballets comme Gisèle, accompagnent cette réalisation, qui prend ses racines dans l'oeuvre musicale de Frédéric Chopin.
Le Quatuor – Bouquet final
105 min

Le Quatuor – Bouquet final

2015 - Mise en scène Alain Sachs
C’est bel et bien Le Quatuor qui a inventé Le Quatuor ! En créant sa propre légende, il a tracé une voie nouvelle dans l’humour musical qui, depuis, n’a jamais cessé de faire école. Après 35 ans d’une exceptionnelle carrière, nos quatre mousquetaires ont décidé de remiser queues-de-pies et archets. En quelques mots rapides, le parcours du Quatuor serait : une dizaine de créations originales, des représentations dans les plus beaux théâtres de l’hexagone, des tournées dans le monde entier, des triomphes sur les plus prestigieuses scènes parisiennes, Trois Molières, une Victoire de la Musique et, par-dessus tout, le bonheur d’un public toujours plus fidèle et nombreux à manifester sa jubilation. Ce spectacle d’adieu, véritable bouquet final, inclura les tableaux les plus savoureux, les séquences les plus émouvantes, les trouvailles les plus hilarantes qui ont fait la renommée du Quatuor. Toujours sous la houlette d’Alain Sachs, il s’agira d’un véritable spectacle et non pas d’une simple compilation rétrospective. Le répertoire de trente années de créations sera revisité avec l’ambition de l’interroger et de le réinventer à chaque instant pour en restituer le joyeux fourmillemet.
Jan Fabre – Beyond the Artist
52 min

Jan Fabre – Beyond the Artist

2015 - Réalisation Giulio Boato
Dans ce documentaire inédit à la télévision, Jan Fabre nous ouvre les portes de son antre : l’énigmatique Troubleyn, lieu d’échanges et de convivialité, véritable laboratoire artistique. Derrières ces murs, le processus de création de l’artiste se dévoile. Et derrière l’artiste aux multiples facettes, l’homme. Sulfureux, provocateur, intense, talentueux, Jan Fabre ne laisse personne indifférent. Certains crient au génie, d’autres au scandale. Dérangeant, l’artiste interroge, secoue, n’a pas de limite. Dessinateur, sculpteur, chorégraphe, plasticien, metteur en scène, il est de ces artistes qui marquent l’Histoire, bouillonnant de créativité, insatiable, déplaçant systématiquement les frontières des genres qu’il aborde.
Jan Fabre, Among Spiritual Guards
27 min

Jan Fabre, Among Spiritual Guards

2017 - Réalisation Giulio Boato
Ce film trace un parcours à travers l’exposition Spiritual Guards de Jan Fabre, l’un des artistes contemporains les plus prolifiques, provocateurs et rêveurs des 30 dernières années. L’exposition a eu lieu à Florence en 2016 : les sculptures de Fabre ont été exposées dans la place centrale, sur les remparts du fort et dans un palais historique. En suivant les paroles de l’artiste et des conservateurs, la caméra se balade parmi les œuvres d’art intégrées dans les paysages Renaissance de la ville de Dante. Des citations du journal intime de Jan Fabre ponctuent le film, en créant un dialogue entre le passé et le présent, entre l’art et l’utopie.
A Théâtre Ouvert
33 min

A Théâtre Ouvert

2012 - Réalisation Jérémie Cuvillier
La célébration du centenaire de la naissance de Jean Vilar est l’occasion d’interroger le Théâtre, à travers la programmation 2012 du Festival d’Avignon qu’il a créé. Que reste-t-il de l’élan d’ouverture entre le Théâtre et le public, le Théâtre dans sa relation au monde ? Marie Labory, journaliste attachée à la culture sur Arte, part à la rencontre de 5 des metteurs en scène majeurs de cette édition (Thomas Ostermeier, Simon Mc Burney, William Kentridge, Eric Vigner et Stephane Braunshweig) pour tenter de répondre à la question du Théâtre et de ses enjeux. Le documentaire nous invite à la suivre dans son enquête, dans sa déambulation, depuis Paris jusqu’à Avignon, en passant par Berlin. Elle découvre, interroge, prend des notes, rédige et consigne son travail dans un carnet, à la façon de notes de voyage. Voyage d’un lieu de création à un autre, l’occasion de découvrir en images la 66ème programmation de ce Festival.
Le prince de Hombourg
128 min

Le prince de Hombourg

2014 - Mise en scène Giorgio Barberio Corsetti
Toute la pièce est une énigme... ou peut-être un songe... qui commence par un somnambulisme et qui finit par un évanouissement... Ou bien est-ce l’histoire d’une lâcheté et d’un héroïsme ? Est-ce le résultat d’une impulsion inconsciente ou celui d’un véritable choix ? De quoi parle Le Prince de Hombourg ? De comment on peut vivre tout en dormant... ou rêver de la vie... comment Éros se mêle impitoyablement aux décisions conscientes... comment la mort joue avec les glissades et les chutes des hommes... comment on peut entendre sans écouter... en écoutant les voix intérieures plutôt que celles de l’extérieur... comment la guerre est le terrain extrême de toutes les possibilités d’action... par le geste le plus extrême, l’homicide... comment les impulsions nous dominent... et comment la raison nous condamne à mort pour faire taire ces impulsions... L'ordre, l’obéissance aux règles, est-cela la mort ? Qu’est-ce que cette pièce tente de nous dire ? Comment le symbole finit par l’emporter sur le réel... Le symbole, est-ce une couronne de laurier sur la tête des poètes et des héros ? Seul un geste de clémence ou d’appréciation du père peut nous sauver... mais cela vaut seulement une fois que nous aurons accepté de monter sur l’autel, le couteau sous la gorge. Le père dispense-t-il la justice... ? Ou la clémence... ? Ou bien le pardon quand il nous a condamnés à mort pour l’avoir emporté contre la loi ? Au fond, est-ce notre victoire qui a été condamnée ? Et cette victoire, peut-elle être seulement remportée contre les lois du père ? Pour ensuite nous emmener à une condamnation et accepter celle-ci comme la seule possibilité d’affirmation de notre être au monde ? La seule issue de la condamnation, est-elle vraiment notre acceptation, et la consé- quente clémence du père ? La mort, vient-elle vers nous habillée en femme perdant un gant ? Éros dissémine des gants perdus, dévoilant des mains délicates et gracieuses – l’histoire de notre culture... Combien de temps faudra-t-il pour que ces mains deviennent squelette ? Chaque scène est une énigme... le sens se perd dans les élans, dans les fulgurances... le prince est notre héros, l’avatar de nos songes... nous vivons avec lui dans des formes et des paysages durs, de pierre ou de fer... des scènes coupées au sabre... comme dans la charge d’une cavalerie exaltée... des scènes fragmentées, éclatées,LE PRINCE DE HOMBOURG de Heinrich von Kleist mise en scène Giorgio Barberio Corsetti livides... incongrues, l’une après l’autre... chaque scène, un tableau différent... qui répond à un système symbolique tour à tour différent... mais qui, toutes assemblées, créent une grande fresque... comme une chapelle cachée dans une grande cathédrale dépouillée... Sur le chemin du prince, une fosse... les croque-morts au travail... Par le biais de sa mère putative, le prince demande clémence à l’Électeur, son père électif... Au théâtre, est-il possible que, dès que le père prend du pouvoir, les fossoyeurs commencent à creuser ? La Cour d’honneur est une paroi ardue, un plateau sous un abîme... c’est là où le prince affronte la guerre, la peur, l’exaltation, le désir, la mort... c’est là où les personnages tombent et se redressent. On les croit morts, mais ils vivent pourtant pour condamner ou être condamnés, pour donner la grâce ou la recevoir... Mais où est la guerre dans tout cela ? Là, au fond, là où l’élan et le cri surgissent sans calcul, sans raison... c’est ce moment d’exaltation qui nous fait remporter la victoire ou perdre, qui nous perd, dans lequel nous nous perdons... car nous n’avons pas écouté... car nous pensions à autre chose... à l’autre... Images, rêves, fer, chevaux... armes... une paroi gravée de signes picturaux... explosions de couleurs... feu... lances incendiées... visions du jugement dernier... combats... chutes sans fin... corps nus et corps protégés... enveloppes... surfaces en mouvement transpercées par les coups... corps projetés... couleurs vives... explosions de couleurs... fer, pierre... Giorgio Barberio Corsetti, septembre 2013
Thais – Hymne à la joie
73 min

Thais – Hymne à la joie

2020 - Mise en scène Stéphane Casez
Tu vas rire ! La vraie histoire du spectacle, notre histoire, commence dans une lointaine contrée du nom de Lyon. Y vit Thaïs, une jeune fille de 23 ans qui a les cheveux blonds comme l’huile d’olive (suite à une coloration maison ratée), la peau rouge eczéma et pas un seul dragon.Un jour elle rencontre sur son chemin Stéphane Casez Lord du Boui Boui qui lui propose de coécrire un one woman show.De cette union nait un beau bébé du nom d’”Hymne à la joie”.Dès le premier mois, le spectacle se place premier des ventes et le reste pendant un an et demi.En juillet 2017, Thaïs n’écoutant que son courage part à la conquête du Festival d’Avignon, le succès est à nouveau au rendez-vous.11 raisons d’aller voir le spectacle :1. Pendant une heure tu n’entendras par parler de “corps parfait pour la plage”2. Tu t’es levé en te disant que ta vie était compliquée ? Viens écouter celle de thaïs, c’est pire.3. Tu peux t’asseoir à côté d’un charmant jeune homme/jeune fille, c’est le coup de foudre.4. Si tu es sage, à la fin tu gagnes une bière5. Tu peux voir plein de personnages, de la danse et du chant en une soirée6. Tu peux faire ton rire, tu sais celui que tu n’oses jamais faire, celui que tout le monde confond avec une alarme de voiture. Et bien là tu peux le faire.7. On ne parlera pas de politique.8. La bière.9. Si tu viens, que tu en parles à 3 personnes et qu’elles viennent, tu auras le bonheur sur 3 générations.10. Promis personne ne te spoilera ta série péférée11. J’ai mentionné la bière ?