MENU
Jonathan Lambert – Perruques
93 min

Jonathan Lambert – Perruques

2013 - Mise en scène Jonathan Lambert
Pour son nouveau spectacle, Jonathan Lambert revient sur scène tel qu’il est : non pas lui-même mais plusieurs. Après quatre saisons chez Ruquier, il nous propose de revisiter les personnages hors-norme qu’il a créés. Homme, femme, vieux, jeune, bon ou mauvais, les voilà pour la première fois sortis de la télé. Et puisqu’il fallait lui donner un titre, cette performance s’appelle tout simplement Perruques.
Jerk
57 min

Jerk

2021 - Mise en scène Gisèle Vienne
Solo pour un marionnettiste...JERK est une reconstitution imaginaire étrange, poétique, drôle et sombre des crimes perpétrés par le serial killer américain Dean Corll, qui, avec l’aide de deux adolescents, David Brooks et Wayne Henley, a tué plus d’une vingtaine de garçons dans l’état du Texas au milieu des années 70.Adapté de la nouvelle de Dennis Cooper, Gisèle Vienne met en scène David Brooks, alias Jonathan Capdevielle, qui purge une peine à perpétuité.En prison, il apprend l’art de la marionnette qui lui permet en quelque sorte de faire face à ses responsabilités quant à sa participation aux crimes. Il a écrit une pièce qui reconstitue les meurtres de Dean Corll, utilisant des marionnettes pour interpréter tous les rôles. David présente son spectacle en prison pour une classe d’étudiants en psychologie d’une université locale.
Jonathan Lambert – L’homme qui ne dort jamais
95 min

Jonathan Lambert – L’homme qui ne dort jamais

2009 - Mise en scène Arnaud Lemort
Cet insomniaque a tout essayé pour retrouver le sommeil : l'hypnose, la relaxation, regarder des épisodes de Louis la brocante... En vain ! Le voilà condamné à vivre une vie parallèle pendant 8 longues années où il va croiser un directeur de prison à l'humour insaisissable, faire l'alarme vivante dans un parking, tomber amoureux d'une gothique intégriste, devenir l'assistante d'un magicien raté, ou encore se faire draguer sur le zodiac d'Evelyne Dhéliat à Saint-Tropez ! Pour son premier one-man-show, Jonathan Lambert qui nous a habitués à des personnages hors norme à la télé, nous fait vivre une aventure extraordinaire sur scène dans un monde inconnu à ce jour : celui de l'Homme qui ne dort jamais !
Franck Dubosc et Stéphane Rousseau – Permission accordée
115 min

Franck Dubosc et Stéphane Rousseau – Permission accordée

2009 - Mise en scène Josée Fortier
Un hommage aux comédies musicales américaines des années 50 de Vicente Minnelli ou Stanley Donen pour un spectacle déjanté, qui mêle dans un cocktail explosif, textes hilarants, chorégraphies virevoltantes à 10 danseurs et moments de pure loufoquerie. Franck Dubosc et Stéphane Rousseau y incarnent deux marins en permission, qui avec la complicité de la fine fleur des humoristes français, vont partir dans un grand voyage au pays du délire. Le tout est mis en histoire et en rythme par l’écriture malicieuse d’Arnaud Gidoin, qui réussit la gageure de respecter l’univers spécifique de chacun, de Florence Foresti à Patrick Timsit en passant par Jonathan Lambert, tout en liant l’ensemble avec un dynamisme et une douce folie irrésistibles. Une scénographie imposante, avec des décors pivotants s’adaptant à l’ambiance voulue pour chacune des séquences, et un travail spécialement soigné sur la lumière, donnent à ce spectacle un vrai parfum de Broadway. Après un immense succès à Nantes (du 3 au 10 avril 2009) et à Montréal (du 3 au 26 juillet 2009), ils prennent aujourd’hui leur « Permission » à Paris, au Zénith du 23 au 26 septembre 2009.
Topors 1- Les Prix de l’Inattendu
105 min

Topors 1- Les Prix de l’Inattendu

2018 - Mise en scène Jean-Michel Ribes
« VIVRE EN MARGE POUR NE PAS MOURIR AU MILIEU. » ROLAND TOPOR Dans un décor créé par Sophie Perez, la cérémonie orchestrée par Jean-Michel Ribes se déroulera en musique et avec une succession d’interventions aussi inattendues, burlesques et insolites que les œuvres des lauréats récompensés. La remise des trophées sera à elle seule une performance savoureuse. « Le Théâtre du Rond-Point crée un prix destiné à récompenser les créateurs du spectacle vivant oubliés des chapelles du bon goût et de la morale définitive, à saluer les mauvaises herbes de la culture trop folles pour être taillées à la française, les incongrus qui ridiculisent les gens qui savent. Bref tous ceux qui sautent dans le vide pour découvrir d’autres planètes. Ces prix qui célèbreront toutes les disciplines du spectacle vivant seront remis à des lauréats désignés par un jury composé de personnalités sensibles à l’extravagance, au pas de côté, au monde à l’envers, au rire de résistance, à l’issue de secours, aux utopies, à la joie d’être soi, au chant de baleine devant la lune, à la musique de l’insolence, bref des personnalités qui ne voient pas la beauté que dans les belles choses. La sélection des spectacles concourant à ce prix sera faite de façon arbitraire par le jury selon ses goûts, ses envies, et pourquoi pas ses amis. Tous les prix sont injustes, les Topor le seront encore plus. » Jean-Michel Ribes
Le chevalier de Saint Georges
72 min

Le chevalier de Saint Georges

2004 - Mise en scène Bartabas
Le Chevalier de Saint-George est une symphonie équestre et pyrotechnique évoquant la tradition des festivités autrefois données au Château. Chevaux, écuyers, musiciens, chanteurs et comédiens évoluent sur une scène flottante bâtie sur le grand Bassin de Neptune, évoquant, sur ses propres compositions, le célèbre musicien, homme de cheval et d’épée que fut le Chevalier de Saint-George, né fils d’esclave. Symphonie équestre et pyrotechnique autour de la vie du Chevalier de Saint-George. 
Caméras sauvages
54 min

Caméras sauvages

2003 - Réalisation Michel Viotte
De "Mogambo" à "Out of Africa", des pionniers du documentaire à l’age d’or du film animalier, un kaléidoscope des plus belles images jamais filmées et photographiées en Afrique.
Battuta
90 min

Battuta

2006 - Mise en scène Bartabas
Bartabas a voulu retrouver une liberté liée à la notion de danger entraînant sa troupe dans une nouvelle création inspirée par les tsiganes. Les 45 chevaux et artistes sont littéralement emportés par les deux groupes de musiciens roumains, une fanfare de cuivres de Moldavie et un ensemble à cordes de Transylvanie. Allègre et inquiétant, "Battuta" se joue de la prouesse comme de la vitesse, nous parle du temps et de la mémoire, et renoue avec la veine populaire et le sens du spectacle festif de la troupe.  Documentaire : Poursuite tzigane - 52 minutes - référence : 197
Le début de la fin
75 min

Le début de la fin

2012 - Mise en scène Richard Berry
Alain Bauman (Richard Berry) est persuadé que sa femme Nathalie vieillit sept fois plus vite que lui. Quand il regarde sa femme, il voit une grand-mère. Leur vie en commun devient compliquée et leur sexualité impossible. Mais est-il vraiment lucide ? Est-ce Nathalie qui a changé, ou le regard que son mari porte sur elle ? Une comédie désopilante sur les dégâts que provoque la routine dans le couple.
La femme du boulanger
130 min

La femme du boulanger

2010 - Mise en scène Alain Sachs
La femme du boulanger raconte l’histoire d’Amable, un boulanger installé en Provence avec sa très jeune femme qui l’abandonne pour un berger. Affecté, le boulanger suspend son activité, arrête le four et se morfond dans l’alcool. L’infidélité de son épouse Aurélie devient alors une affaire communale. Tout le village fait taire ses haines et ses rancunes aussi mesquines que stupides pour partir à la recherche de l’infidèle et la ramène à son bon vieux mari. On y retrouve toute la symphonie de Pagnol, avec une pléiade de personnages pittoresques, hauts en couleur, antagonistes… Il y a ceux qui se boudent de père en fils, les commères, les grenouilles de bénitier, le notable, et bien sûr les deux grandes figures dominantes de tout village français de l’époque : Le curé et l’instituteur !
L’entêtement
142 min

L’entêtement

2011 - Mise en scène Marcial Di Fonzo Bo, Eric Vigner
L’Entêtement est la dernière pièce de l’heptalogie inspirée par le tableau La Roue des sept péchés capitaux de Jérôme Bosch (1475), à Rafael Spregelburd. À la fois auteur, metteur en scène, comédien, traducteur et pédagogue, il est l’un des plus brillants représentants d’une nouvelle génération de dramaturges argentins, qui a commencé à écrire dans les années du retour à la démocratie. Membres du Théâtre des Lucioles, Élise Vigier et Marcial Di Fonzo Bo abordent pour la quatrième fois un de ses textes (après La Connerie et La Paranoïa au Théâtre national de Chaillot en 2008 et 2009). Forts de ce long compagnonnage, et entourés d’une équipe d’acteurs et de créateurs fidèles aux projets précédents, ils plongent dans cette oeuvre « hybride, métisse, excessive, irrégulière ». La pièce se passe près de Valencia en Espagne, fin mars 1939, dans la maison du commissaire de la ville. Le spectateur assiste en temps réel à une succession d’événements déroulés à chaque acte d’un point de vue différent. Cette construction particulière fait avancer la pièce à la manière d’un roman policier et déploie une multitude de lectures possibles : le texte questionne la guerre d’Espagne et par ce biais la frontière parfois étroite entre fascisme et démocratie. Il démontre comment la création d’une nouvelle langue, au nom d’une utopie humaniste, peut dégénérer en langage totalitaire. Et il pose aussi « le langage » comme lien entre les hommes, comme « bien commun ». La pièce est d’ailleurs jouée en français, en espagnol et en valencien.
ABRACADABRUNCH
83 min

ABRACADABRUNCH

2016 - Mise en scène Alil Vardar, Thomas Gaudin
François Coulon a 45 ans et vient de vendre ses affaires. Célibataire, égoïste, misogyne, cavaleur, grossier, de mauvaise foi... il a décidé de consacrer le reste de sa vie à lui-même. Le bonheur selon François ! Mais elle a une mission ! Pour lui l'enfer va commencer ! Après ses trois précédents succès au théâtre. Alil Vardar, l'auteur du "Clan des divorcées " nous offre sa 4ème pièce où en plus de nous faire rire il a décidé d'y rajouter un peu de magie... Tout un programme ...
A gauche en sortant de l’ascenseur
92 min

A gauche en sortant de l’ascenseur

2015 - Mise en scène Arthur Jugnot
Yan qui attend un rendez-vous galant se trouve embarrassé par sa voisine qui a  claqué la porte de chez elle alors qu'elle était sur le paillasson en petite tenue. Stéphane Plaza endosse le costume de Pierre Richard dans la pièce qui a inspiré le film "A gauche en sortant de l'ascenseur". 9 comédiens dans une mise en scène acrobatique signée Arthur Jugnot.
Clinic
74 min

Clinic

2014 - Mise en scène Eric Métayer
Une journée dans le quotidien d'une clinique où vous ne voudriez pas vous faire opérer… Ils sont tous fous dans cette clinique ! Les médecins déjantés ne ratent pas une occasion de s'amuser aux dépens des malades… souvent plus atteints qu'il n'y paraît. Clinic, c'est un univers délirant et grinçant. Un spectacle débordant d'inventivité et d'humour noir.
Grand Concert, Urgence Tchétchénie
118 min

Grand Concert, Urgence Tchétchénie

2017 - Mise en scène Guillaume Mélanie
Soirée présentée par Karima Charni et Guillaume Mélanie. Avec la marraine Camille Cottin et parrain Vincent Dedienne Seront également présents les Artistes : Camille Cottin, Vincent Dedienne, Vincent Delerm, Julie Zenatti, Christophe Willem, Elisa Tovati, Catherine et Liliane, Patxi Garat, Albin de la Simone, Rose, Maud Le Guénédal, Alex Beaupain, Camille Chamoux, Philippe Besson, Vanessa David, Benjamin Siksou et beaucoup d'autres... Toutes les recettes seront reversées au Mouvement URGENCE TCHÉTCHÉNIE qui vient en aide aux homosexuels tchétchènes persécutés dans leur pays, en payant billets d'avion, de train, vêtements, nourriture, hébergements... URGENCE TCHÉTCHÉNIE est un mouvement citoyen fondé par Guillaume Mélanie, et composé d'artistes : Benjamin Gauthier, Patxi Garat, Cédric Moreau, Vincent Bayol, Benoit Crou, Camille Cottin, Vincent Dedienne.
Le spectre ou la pâleur du ciel
48 min

Le spectre ou la pâleur du ciel

1997 - Mise en scène Karine Saporta
Cette création a pour thème le romantisme, les romantismes. Romantismes littéraires, musicaux, picturaux, chorégraphiques… Rapports à la nature, à l’âme, à l’exaltation des sens, des sentiments… A Dieu… En grande partie inspirée par l’œuvre de Degas et Puvis de Chavanne, et par le souvenir de l’opéra romantique, cette chorégraphie mêle la danse à l’univers de la peinture, créant une toile vivante. Les textes de Lamartine, Hugo sur la nature et l’absence, ceux de Théophile Gautier sur la création des ballets comme Gisèle, accompagnent cette réalisation, qui prend ses racines dans l'oeuvre musicale de Frédéric Chopin.