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Uzes Quintet
26 min

Uzes Quintet

2004 - Réalisation Catherine Maximoff
Un film de danse qui se fonde sur le travail chorégraphique de cinq compagnies invitées par le Festival De La Nouvelle Danse d'Uzès.
Madame sans gène
113 min

Madame sans gène

2011 - Mise en scène Alain Sachs
Catherine Hubscher est blanchisseuse et fiancée au sergent Lefèbvre. Elle est réputée pour son franc-parler, ce qui lui a valu le surnom de « Madame Sans-Gêne ». Lors de la prise des Tuileries, elle sauve la vie à un jeune noble autrichien, le comte de Neipperg. Les années passent, Lefèbvre devient Maréchal d'Empire, et duc de Dantzig, Catherine, sa femme, devient duchesse. Napoléon, excédé par son manque de distinction dans le grand monde, veut que Lefèbvre divorce. Lefèbvre refuse et la duchesse est convoquée devant l'Empereur. Auparavant, lors d'une réception chez elle, elle remet à leur place les sœurs de Bonaparte en se vantant d'être originaire du bas monde... comme elles l'étaient aussi.
Les deux canards
129 min

Les deux canards

Un bijou de Tristan Bernard, une mécanique endiablée, de l’impertinence et de la dérision. Pour raconter l’arrivisme, les retournements de veste et les petites vanités. Dans cette pièce pleine de fantaisie, Yvan Le Bolloc’h, coureur invétéré et journaliste enchaîné à deux canards, est irrésistible. Bien entouré aussi par une dizaine de comédiens alertes.
La Mouette
212 min

La Mouette

2012 - Mise en scène Arthur Nauzyciel
À quoi reconnaît-on un chef-d'œuvre ? Sans doute par le fait qu'il soit joué et rejoué, année après année, parce qu'il excite toujours la curiosité des artistes qui s'en emparent et celle des spectateurs qui viennent le réentendre, ses questionnements apparaissant encore d'actualité. "La Mouette" demeure dans l'Histoire, elle est toujours active et sans doute toujours nécessaire et unique. Elle l'est évidemment pour Arthur Nauzyciel qui a voulu la faire entendre dans la Cour d'honneur du Palais des papes. Cette pièce qui parle, selon les mots du metteur en scène, "d'art, d'amour et du sens de nos existences", écrite à la fin de ce XIXe siècle qui se meurt sans bien imaginer ce que sera le XXe pourtant si proche, est aussi hantée de souvenirs, de mélancolie, de ruines et d'espérance. Foi en l'art, attente d'un amour réciproque, ces sentiments ne résisteront pas à la réalité d'un monde où la mort rôde, celle des mouettes abandonnées au bord des lacs et celle des artistes idéalistes qui, comme Tréplev tentant de rêver un autre théâtre, sont brutalement rejetés. Ce qui pourrait n'être qu'un mélodrame construit autour d'une sarabande d'amours impossibles –puisque personne n'aime celui qui l'aime– devient un bal funèbre et métaphysique, une ­véritable parabole sur la condition de l'homme. Arthur Nauzyciel souhaite donc une nouvelle fois "parler pour ressusciter les morts", persuadé que l'auteur Anton Tchekhov "console les âmes" comme le docteur Tchekhov sauvait les corps souffrants. En retraversant "La Mouette", il y croisera des spectres, ceux de l'écrivain russe, mais aussi Hamlet ou les héros de "L'Orestie", venus témoigner du lien avec le passé, pour construire un théâtre qui se fait au présent, un théâtre de l'impérieuse nécessité.
Grosse chaleur
95 min

Grosse chaleur

2005 - Mise en scène Patrice Leconte
En vacances dans le Lubéron, un haut fonctionnaire épris de bonne pensée boboïsée doit supporter dans son havre de tranquillité une ribambelle de gêneurs et d'empêcheurs d'arroser en rond. Femme, enfant et belle-mère au premier rang, beau-frère et belle-soeur en cadeau bonus. S'ajoutent une terrible canicule et une mère restée seule dans son appartement à Paris... Le cocktail est bouillant, voire explosif... avec cette chaleur ça va être dur de le garder frais.
Parce que je la vole bien
83 min

Parce que je la vole bien

2011 - Mise en scène Jean-Luc Moreau
Une vieille dame milliardaire est très généreuse avec un dandy mondain qui l’amuse follement. La fille et le gendre de la vieille dame n'apprécient pas de voir leur héritage ainsi dilapidé. Le décor est celui d'un cossu salon bourgeois. Trois personnages vont s’affronter. La mère, Madame Caquencourt maraboutée par un dandy mondain, Jean-Florent Marnier, et la fille, tous trois rejouent à leur façon une des affaires familiales les plus passionnantes de ces dernières années qui faillit s'achever en tragédie grecque : celle de la famille Bettencourt. Mais la solitude et la vulnérabilité de la vieillesse sont aussi l’autre sujet de Parce que je la vole bien et ce thème n'intéressera pas que les milliardaires ! Toute ressemblance ou similitude avec des personnages existant ou ayant existé n'aurait qu’un seul but : vous faire rire.