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Ça n’arrive pas qu’aux autres
Tout est allé très vite...
C’était un mardi. Il était 20h.
Ils étaient venus visiter cette maison.
Personne n’aurait pu prévoir ce qui s’est passé.
Comment l’alchimie entre quatre personnes peut-elle transformer
une simple visite immobilière en un véritable cauchemar?
Et si vous aussi vous aviez eu le malheur de les rencontrer?
Revivez, comme si vous y étiez, la version intégrale non censurée
de ce fait divers aussi drôle qu’improbable.
La Fiesta
«Je crois que la fête est à la fois l’expression et la nécessité de ma culture». Israel Galván donne cette première indication sur la conception de son spectacle «La Fiesta». Il ne s’agit pas dans ce spectace de chorégraphier une fête comme on pourrait l’entendre au sens premier et culturel. Le chorégraphe andalou tente davantage de créer - chorégraphier -des fêtes qui n’ont rien à voir avec celles de sa communauté, avec la vie de famille. Il s’agirait de fêtes intimes de chacun, un chacun qui formerait un groupe acceptant de vous suivre vers un territoire inconnu. Israel Galván a ici regroupé neuf danseurs et musiciens atypiques. Ils ne sont pas tous de la même école : il ne s’agit pas d’une troupe homogène comme pourraît l’être le ballet.
La Fiesta, c’est peut-être aussi l’expression d’un groupe qui singularise chacun au sein du groupe. C’est peut-être l’idée des corps qui bougent, qui s’expriment à partir d’une trajectoire commune par des biais différents. Des corps qui s’écoutent, qui en se voient pas : la musique est essentielle. Plus encore, elle est décisionnaire, elle rassemble.
Princesses le reve d’Odile
Dans une grande féerie, 20 chorégraphes-danseurs contemporains renommés investissent différents espaces d’un bâtiment flambant neuf, le Théâtre-Auditorium de Poitiers, pour en célébrer la création et son ouverture au public.
De son solo respectif, chacun éprouve les lieux, dialogue avec, pour mieux en réinventer le sien et un autre, celui du spectacle.
Les formes et les volumes de l’édifice dessinés par l’architecte expriment ici ses recherches autour d’un lien nouveau entre la structure de l’espace et le mouvement du corps.
Par son univers et son style propre, chaque danseur donne à percevoir son rapport à l’espace environnant. Les perceptions varient de l’un à l’autre, s’additionnent et révèlent l’espace architectural. Les murs peuvent danser.