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Dieudonné – Cocorico à Bobino
102 min

Dieudonné – Cocorico à Bobino

2002 - Mise en scène Dieudonné
De la politique aux politiciens, des médias à la justice, de votre voisin ou même de lui-même, Dieudonné épingle vraiment tout le monde dans un portrait sans concession de notre société, teinté au vitriol. "Le bonhomme est drôle, très drôle et il sait taper sur tout ce qui bouge avec l'efficacité d'un grand" Le Figaroscope
Les Coquettes
90 min

Les Coquettes

2019 - Mise en scène Flavie Lalung, Marie Facundo, Juliette Faucon
Les Coquettes, bien plus qu’un phénomène … Les Coquettes, c’est une présence scénique incroyable, un goût bien affirmé pour la musique et des textes drôles, osés dans lesquels tout le monde se reconnait avec délice. Elles se moquent d’elles-mêmes pour mieux envoyer valser les clichés, flinguent les relous à coups de syncopes féministes et se jouent des conventions pour mieux en rire. Les Coquettes, c’est unique et moderne, c’est plus que de la musique, plus que de l’humour. Laissez-vous porter par leurs voix, leurs énergies et partez avec elles #alacoquettedumonde
Drugs kept me alive
74 min

Drugs kept me alive

2013 - Mise en scène Jan Fabre
Le monologue Drugs kept me alive (Les drogues m’ont maintenu en vie) parle d’un survivant. Il explore toutes les issues de secours, l’aiguille de sa boussole toujours tournée vers les raccourcis entre le ciel et l’enfer, pour toujours avoir une longueur d’avance sur la menace de la Faucheuse. Sa rapidité est sa meilleure arme, son humour un médicament puissant et ses acolytes répondent à des noms illustres issus des sphères supérieures, tels que ecstasy, kétamine,GBH,poppers,speed,cocaïne,2C-B,2C-1,2C-7. Avec ces cristaux à inhaler, ces ‘démangeurs’ de sang et ces envoûteurs cérébraux, il se repousse et se jette dans le magma de ce qui le maintient en vie : le désir tourbillonnant de l’ivresse permanente. Il se meut à bord d’un gigantesque dirigeable, loin au-dessus des nuages, il amarre aux quais de chimères qui semblent être en perpétuelle transformation, se crée des mirages qui semblent l’envelopper aimablement et lui procurent un bonheur intense. C’est précisément cette intensité hors du monde qui fait battre ce désir obsessionnel. Une intensité emplie d’une sorte de pureté : l’extase. C’est une sensation étrange qu’une chose puisse être à la fois aussi floue et aussi transparente. Comme une bulle de savon que l’on peut tendre tout autour de la peau pour ainsi s’enfoncer lentement et disparaître. Cette bulle d’air est sa seconde nature, une enveloppe où le silence est assourdissant et qui le protège de la mort. Mais on approche du plaisir ultime, du superlatif de l’extase quand les médicaments du monde d’en haut se mêlent à ceux du royaume des ombres. Dans Drugs kept me alive, Jan Fabre esquisse une vie au bord du gouffre de la mort. Plus on s’approche de la mort, plus les pilules, les poudres et les boissons doivent soutenir la vie. Telle est la situation dans laquelle se trouve le personnage de cette pièce : il a vu la mort en face et décide de jouer au poker avec la maladie dans son corps : drugs kept me alive. Luk Van den Dries