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Edgar Morin – Se souvenir de l’avenir
151 min

Edgar Morin – Se souvenir de l’avenir

2021 - Réalisation Stéphane Pinot
Né le 8 juillet 1921, Edgar Morin est un enfant du siècle qui a vécu intimement les extases de l’histoire. Théoricien de la connaissance et héros de la Résistance, dissident du stalinisme et infatigable arpenteur des chemins de l’espérance, anthropologue de la mort et sociologue du temps présent, Edgar Morin est un omnivore culturel et un penseur fraternel. Et n’aura cessé de vivre autant que de penser les événements. À travers l’évocation de ses souvenirs les plus marquants, il lancera, en compagnie d’invités inspirés par ses idées, quelques salves d’avenir afin de dessiner une nouvelle voie pour notre temps. le 8 juillet 1921, Edgar Morin est un enfant du siècle qui a vécu intimement les extases de l’histoire. Théoricien de la connaissance et héros de
Un weekend sur deux et la moitié des vacances scolaires
82 min

Un weekend sur deux et la moitié des vacances scolaires

2015 - Mise en scène Cédric Moreau
Jules (huit mois) est un enfant chanceux. Sa mère, son beau-père et son père vont se forcer à cohabiter une semaine dans une villa en bord de mer pour "le bien de l'enfant" comme ils disent dans les livres! mais si bébé est heureux et passe son temps à gazouiller, les adultes se comportent comme des enfants et entre les papas et la maman l'ambiance va devenir explosive… Les vacances de rêve vont tout naturellement se transformer en pur cauchemar !
Drugs kept me alive
74 min

Drugs kept me alive

2013 - Mise en scène Jan Fabre
Le monologue Drugs kept me alive (Les drogues m’ont maintenu en vie) parle d’un survivant. Il explore toutes les issues de secours, l’aiguille de sa boussole toujours tournée vers les raccourcis entre le ciel et l’enfer, pour toujours avoir une longueur d’avance sur la menace de la Faucheuse. Sa rapidité est sa meilleure arme, son humour un médicament puissant et ses acolytes répondent à des noms illustres issus des sphères supérieures, tels que ecstasy, kétamine,GBH,poppers,speed,cocaïne,2C-B,2C-1,2C-7. Avec ces cristaux à inhaler, ces ‘démangeurs’ de sang et ces envoûteurs cérébraux, il se repousse et se jette dans le magma de ce qui le maintient en vie : le désir tourbillonnant de l’ivresse permanente. Il se meut à bord d’un gigantesque dirigeable, loin au-dessus des nuages, il amarre aux quais de chimères qui semblent être en perpétuelle transformation, se crée des mirages qui semblent l’envelopper aimablement et lui procurent un bonheur intense. C’est précisément cette intensité hors du monde qui fait battre ce désir obsessionnel. Une intensité emplie d’une sorte de pureté : l’extase. C’est une sensation étrange qu’une chose puisse être à la fois aussi floue et aussi transparente. Comme une bulle de savon que l’on peut tendre tout autour de la peau pour ainsi s’enfoncer lentement et disparaître. Cette bulle d’air est sa seconde nature, une enveloppe où le silence est assourdissant et qui le protège de la mort. Mais on approche du plaisir ultime, du superlatif de l’extase quand les médicaments du monde d’en haut se mêlent à ceux du royaume des ombres. Dans Drugs kept me alive, Jan Fabre esquisse une vie au bord du gouffre de la mort. Plus on s’approche de la mort, plus les pilules, les poudres et les boissons doivent soutenir la vie. Telle est la situation dans laquelle se trouve le personnage de cette pièce : il a vu la mort en face et décide de jouer au poker avec la maladie dans son corps : drugs kept me alive. Luk Van den Dries