Auteur(s)
Mise en scène
Chef d’orchestre
Avec
Patrizia Ciofi, soprano : Poppea / Fortuna Anne Sofie von Otter, mezzo-soprano : Ottavia / Virtù Amel Brahim-Djelloul, soprano : Valletto / Amore Lawrence Zazzo, contre-ténor : Ottone Anna Caterina Antonacci, soprano : Nero Tom Allen, ténor : Arnalta / Mercurio Dominique Visse, haute-contre : Nutrice / Famigliaro I Antonio Abete, baryton : Seneca Mariana Ortiz-Francés, mezzo-soprano : Pallade / Damigella Carla di Censo, soprano : Drusilla Enrico Facini, ténor : Liberto / Soldato II / Tribuno I Finnur Bjarnason, ténor : Lucano / Soldato I / Console / Famigliaro II René Linnenbank, baryton : Liberto / Soldato II / Tribuno II
Lieux de tournage
Théâtre des Champs-Elysées, Paris
Coproduction
Avec Le Couronnement de Poppée (L’Incoronazione di Poppea), le voyage que nous avons entrepris dans l’univers de l’opéra baroque italien nous ramène au fondateur du genre, Claudio Monteverdi, et aussi, à l’une de ses sources littéraires les plus fécondes, les Annales de Tacite.
À la fin d’Agrippina (Haendel, 1710), Othon renonçait au trône pour épouser Poppée et Néron devenait Empereur. Cette fois, tout en repartant en arrière en ce qui concerne l’histoire de la musique (Le Couronnement date vraisemblablement de 1642), nous avançons dans l’histoire narrée par Tacite, Poppée quitte Othon pour accéder au trône à son tour.
Dans sa brillante mise en scène d’Agrippina, David McVicar avait déjà esquissé l’épisode suivant : à la fin de l’ouvrage, à peine unie à Othon, Poppée dirigeait son regard vers Néron… Il était donc assez logique de confier Le Couronnement de Poppée à la même équipe qu’Agrippina : David McVicar et René Jacobs, qui encadreront une distribution de très grande qualité.